La plage est le lieu idéal qui permet de profiter du bruit des vagues, du farniente et du soleil. Découvrez les écogestes à considérer pour être écologique en protégeant l’environnement, la planète, l’écosystème marin et prévenir la pollution plastique.

Protégez la plage en réduisant les déchets

Le réchauffement climatique est le thème qui fait l’actualité sur l’écologie. Dans cette optique, pour la protection de la planète, il est essentiel de ne pas polluer les océans. Ainsi, la réduction des déchets est à considérer en allant à la plage. Pour cela, un sac à tissu pour tout transporter est une bonne idée. En sus, les collations emballées sont à éviter, car ils provoquent la pollution des océans. Quant aux pailles jetables et d’autres ordures les plus trouvées au bord de la mer, ils sont à bannir.

D’autres écogestes pour le respect de l’environnement

Afin d’être écologique et pour préserver l’environnement marin, le plastique à usage unique est à interdire. C’est l’un des écogestes à considérer en se rendant à la plage. Dans ce cas, la première chose à faire est de bannir les bouteilles d’eau. Ainsi, évitez les gobelets à usage unique et préparez des kits de couverts en bois ou en métal à apporter à la plage.

Les crèmes solaires sont néfastes pour l’environnement et la planète, car elles nuisent à la biodiversité marine. De plus, elles provoquent la pollution des mers. Comme plus de 4000 tonnes de crème solaire se déposent dans les fonds marins chaque année, elles détruisent la faune et la flore aquatique, particulièrement les coraux. De ce fait, pour être écologique à la plage, il est conseillé de favoriser une crème solaire bio aux filtres UV minéraux et sans silicones.

Défendez la plage en favorisant un maillot éco-responsable

Dans la plupart des cas, les maillots de bain traditionnels sont fabriqués avec des fibres synthétiques. Ces dernières libèrent des micro-plastiques dans les eaux. Outre le fait d’être néfaste pour la plage et les écosystèmes, elles sont aussi dangereuses pour la peau. De ce fait, des modèles plus respectueux de la planète comme le label Global Organic Textile Standard (GOTS). Celui-ci contient au moins 70 % de coton bio. D’autres marques utilisent également des matériaux recyclés pour fabriquer des maillots.

Crédit Image : OCG Saving The Ocean de Unsplash

L’upcycling compte parmi les moyens les plus efficaces pour réduire l’impact environnemental des déchets toxiques dans le monde. En Inde, des entrepreneurs utilisent la technique pour transformer les bouteilles en plastique en tissus, et ce, afin de réduire le gaspillage de matières premières. 

Inde : les créateurs sont nombreux à se lancer dans l’upcycling pour lutter contre le gaspillage 

Ces dernières années, divers projets visant à réduire les montagnes de déchets urbains qui inondent actuellement la planète voient le jour. Parmi ceux-ci figure l’upcycling, une pratique adoptée en Inde, depuis quelque temps, pour favoriser le recyclage de déchets toxiques. L’upcycling contribue de même à développer la croissance verte grâce aux créateurs indiens qui proposent des initiatives toujours plus innovantes.  

Plastiques, paquets de chips, objets usés, denim, emballages alimentaires et meubles cassés pourront être valorisés. Dans ce pays, l’upcycling veut être un moyen efficace pour permettre le recyclage et limiter la production de déchets dangereux pour l’environnement. Notons que l’Inde génère entre 3 et 4 millions de tonnes de déchets plastiques par an. La collecte et le traitement des ordures ménagères résiduelles favorisent donc le développement de l’économie circulaire. 

Trash to Treasure fabrique des tissus à partir de bouteilles en plastique et d’emballages 

Seulement âgé de 17 ans, Aditya Banger, un étudiant originaire de Bhilwara (Rajasthan) se lance dans l’upcycling. Pour ce faire, le jeune entrepreneur se met à collecter des bouteilles en plastique et des emballages ménagers. Il les recycle ensuite pour obtenir des tissus qu’il vend aux industries textiles de l’Inde. Depuis un an, il est à la tête de Trash to Treasure, une entreprise d’upcycling née au début de l’année 2021, en pleine pandémie de Covid.  

Aujourd’hui, le jeune créateur recycle au moins 10 tonnes de plastique par jour pour obtenir des tissus dédiés à la conception de vêtements. Le compte Instagram de la startup partage d’ailleurs des informations sur son concept d’upcycling visant à créer une Inde meilleure. L’idée est de considérer la chaîne de production et de réutiliser tous les matériaux recyclables. Cette démarche permet, en effet, de tirer profit des avantages économiques et environnementaux de l’upcycling.  

EcoKaari lutte contre l’impact environnemental des déchets ménagers 

À plus de 900 kilomètres de Bhilwara (Rajasthan), Nandan Bhat pratique également l’upcycling. Son objectif est de débarrasser l’Inde de ses montagnes de déchets ménagers. Avec sa startup EcoKaari, il se met à collecter toutes sortes d’ordures, qui peut aller du sac plastique aux emballages alimentaires. Après avoir désinfectés et séchés les déchets, la startup les transforme en outils traditionnels tels que le charkha, un type de rouet indien. Notez que l’upcycling permet à la startup indienne de mettre en valeur le savoir-faire ancestral de nombreux artisans.  

Enfin, la collecte des matières premières se fait en collaboration avec les organismes et les commerçants. Avec sa technique d’upcycling, la startup offre, aux déchets collectés, une seconde vie sous la forme de tote bags, de portefeuilles ou même de couvertures de livres. À préciser que ces articles sont entièrement faits à la main par des artisans indiens.  

Avec ETX/DailyUp 

Les emballages de produits alimentaires sont désormais évalués avant d’être jetés. L’association Open Food Facts invite les consommateurs à recueillir les informations sur les étiquettes des contenants et à entrer les données dans une application mobile dans le but de déterminer leur impact environnemental.  

De quoi se composent les emballages des produits alimentaires ?  

La question que souhaite poser l’association française Open Food Facts est la suivante : « de quoi sont composés les emballages des produits alimentaires ? ». Une question qui trouvera les réponses dans l’opération « Plein pot sur les emballages » lancée en partenariat avec l’Agence de la transition énergétique Ademe.  Et ce sont les consommateurs qui vont apporter les données sur ces emballages. Ces derniers sont en effet invités à récolter les informations relatives aux contenants qu’ils utilisent au quotidien : poids, forme, matériaux, recyclabilité, etc. Un écogeste à réaliser avant de mettre les emballages des produits alimentaires à la poubelle. Cette opération durera un peu plus d’un mois. Elle a débuté le 12 janvier 2023 et ne prendra fin qu’à la fin du mois de février 2023.  

Lire les étiquettes et entrer les données dans une application mobile 

L’action à mener est simple, il faut juste voir les caractéristiques des emballages des produits alimentaires en les regardant de plus près et en lisant leurs étiquettes. Toutefois, pour pouvoir recueillir les données réelles du contenant, le consommateur doit se familiariser avec les signes et symboles utilisés par les fabricants. Notez également qu’il peut arriver qu’un emballage soit composé par différentes matières, du plastique et du carton par exemple. Toutes ces particularités doivent être détectées lors de l’analyse du contenant pour déterminer si celui-ci est écologique. Une fois toutes les informations recueillies, chacun pourra les entrer dans l’application mobile Open Food Facts. Ce programme comprend des fiches produits à remplir. Et surtout, ne pas oublier de scanner les emballages avec l’application.  

L’impact environnemental de l’emballage préoccupe les consommateurs 

Cette opération est aussi une manière de responsabiliser autant les consommateurs que les fabricants d’emballage et les commerçants. Les particuliers qui contribuent à la récolte des données effectuent un geste écoresponsable. Une fois les informations recueillies publiées, tous les acteurs sauront exactement l’impact environnemental des contenants qu’ils proposent. D’ailleurs, Open Food Facts explique que cette action est un moyen d’encourager l’écoconception, de lutter contre le suremballage, tout en permettant plus tard le déploiement de l’affichage environnemental sur les produits alimentaires.  

Avec ETX Daily Up 

Des chercheurs chinois travaillent actuellement sur des panneaux photovoltaïques d’intérieurs. Ce dispositif est fabriqué avec du sélénium et peut capter l’énergie d’une lumière ambiante comme celle de la lampe LED et des néons pour produire de l’électricité destinée à des objets connectés.  

Des panneaux photovoltaïques d’intérieurs à base de cellules de sélénium 

Les panneaux photovoltaïques d’intérieurs sont fabriqués avec des cellules de sélénium. Même si ce matériau s’est auparavant avéré inefficace quand il est exposé au soleil, son spectre d’absorption est parfaitement compatible avec le spectre d’émission des sources de lumière comme les lampes LED et les néons. D’ailleurs, les résultats sont prometteurs puisque les cellules de sélénium ont affiché un rendement de 15 % lorsqu’elles ont été testées sur une source de lumière de 1000 lux.  

Les panneaux photovoltaïques faits à partir de cellules de sélénium offrent également une belle stabilité et gardent la même performance au-delà de 1000 heures d’utilisation. Ce sont donc d’excellents moyens pour bénéficier d’une énergie verte à utiliser sur les capteurs et tous les dispositifs de communication à l’intérieur des bâtiments.  

Electricité verte pour les objets connectés 

Les panneaux photovoltaïques habituels peuvent alimenter de gros appareils électriques grâce à l’électricité emmagasinée. Rappelons qu’ils peuvent transformer en électricité 5 à 20 % de l’énergie qu’ils stockent.  

Concernant les nouveaux dispositifs développés par des chercheurs chinois à l’académie des sciences de Pékin s’adressent plutôt à de petits appareils, plus précisément à des objets connectés. En effet, ces panneaux photovoltaïques sont capables de fournir 1 V d’électricité pendant plus de 1000 heures après avoir emmagasiné une lumière ambiante. C’est aussi un moyen de recycler l’énergie utilisée dans le logement.   

Les chercheurs chinois enthousiastes vis-à-vis de ce prototype 

Pour l’instant, les panneaux photovoltaïques d’intérieurs sont encore en phase d’élaboration. Mais ces prototypes sont en bonne voie, selon les chercheurs chinois. Les travaux en laboratoire affichent de bons résultats. Par contre, notons que les panneaux photovoltaïques d’intérieurs ne datent pas d’hier. Des chercheurs suédois et chinois ont déjà commencé à travailler dessus depuis 2019. Aujourd’hui, tous ces projets contribuent à accélérer la course vers l’énergie verte, et l’alimentation de l’internet d’objet en sera grandement simplifiée dans un futur proche.   

Avec ETX Daily Up 

Pour limiter les effets de la crise climatique et atteindre la neutralité carbone, les chercheurs proposent que les producteurs d’énergies fossiles procèdent au captage de CO2 émis par leurs produits. C’est ce qui a été avancé dans le journal Environmental Research Letters récemment. 

Captage de CO2 : responsabilité des producteurs d’énergies fossiles 

Dans un article publié d’Environmental Research Letters, l’étude menée par des chercheurs avance qu’il est peut-être temps de responsabiliser l’industrie du pétrole, du gaz et du charbon par rapport à l’importance d’éliminer le dioxyde de carbone. Le captage du CO2 par ces producteurs d’énergies fossiles permettrait de faire évoluer la lutte contre la crise climatique. Pour le professeur Myles Allen, co-auteur de cette étude, la seule manière de stopper le réchauffement climatique est de parvenir à mettre sous terre une tonne de dioxyde de carbone pour chaque tonne générée par l’utilisation des énergies fossiles. Pour cela, la responsabilité élargie des producteurs (REP) déjà appliquée en France pour certains secteurs, devrait être étendue au secteur de la production d’énergie fossile.    

Viser la neutralité carbone et lutter efficacement contre la crise climatique 

La politique environnementale actuelle se fixe comme objectif d’atteindre la neutralité carbone en 2050. Si des efforts sont déjà constatés par rapport à la réduction des émissions de gaz à effet de serre, cette mesure demeure insuffisante face aux enjeux climatiques. Pour le Giec par exemple, le captage de CO2 est une étape obligatoire pour le monde entier. Les chercheurs, eux, estiment qu’une des solutions est de contraindre les producteurs d’énergies fossiles à procéder au captage de CO2, et ce massivement.  

Des moyens amplement suffisants selon les chercheurs 

Les auteurs de l’étude affirment que l’industrie du fossile dispose des moyens nécessaires pour créer des installations de captage de CO2. Ancien d’ExxonMobil et co-auteur de l’étude, Hugh Helferty pense que les producteurs d’énergies fossiles sont parfaitement capables de reprendre le dioxyde de carbone, à la source ou en le recapturant dans l’air. Leurs moyens sont suffisants, mais il leur manque le modèle financier et la motivation, a lancé ce dernier. Précisons que le captage de CO2 est déjà en œuvre, mais à une petite échelle. La plus grande installation localisée en Islande de capture du dioxyde de carbone ne parvient à supprimer en un an que ce que les hommes laissent échapper en seulement une seconde. Avec un financement adéquat et une participation des industriels, la mission serait beaucoup plus facile.   

Avec AFP 

Il est tout à fait possible d’apporter une dimension durable et éco-responsable à son voyage. Dans le cadre d’une démarche de tourisme responsable, des objets essentiels pour le respect de l’environnement et de la planète sont à mettre dans la valise pour passer des vacances écolo. Découvrez-les.

Vacances écolo : une gourde filtrante est à privilégier

Consultez l’actualité sur l’écologie pour en apprendre plus sur ce qu’il faut inclure dans sa valise afin de passer des vacances écolo. La gourde est l’un des accessoires indispensables dans le cadre d’un mode de vie zéro-déchet. En plus de réduire l’utilisation des bouteilles d’eau à usage unique, elle est efficace pour lutter contre la pollution plastique, un phénomène néfaste pour les océans. Les modèles en cuivre ou en acier sont à favoriser pour ne pas encombrer les bagages, car ils sont légers.

Que faut-il prendre pour un voyage écologique ?

Pour un voyage respectueux de l’environnement et de la planète, certains écogestes sont à considérer. En ce sens, quelques objets essentiels sont à inclure dans sa valise. Ainsi, les sacs à vrac en coton ou en lin sont excellents pour éviter les emballages. Comme ils sont légers, ces alliés zéro déchet peuvent être emportés à la plage ou lors de la randonnée pendant les vacances écolo.

De plus, des cosmétiques écologiques sont aussi à favoriser. Dans ce cas, les cotons jetables sont à éviter durant les vacances écolo. Il en va de même pour les multiples flacons comme ceux de shampooings ou de gels douche, entre autres. Ainsi, d’autres alternatives comme les cotons tiges biodégradables, les lingettes lavables, les brosses à dents en bambou et le savon solide sont à apporter.

Vacances écolo : favorisez une crème solaire naturelle pour l’environnement

Afin de se protéger la peau en respectant la planète et l’environnement durant les vacances écolo, une crème solaire naturelle est à utiliser. De ce fait, des modèles de protection bio et sans produits chimiques sont à utiliser. En plus d’être consignés (verre, carton, métal) ou réutilisables, ces derniers sont disponibles dans des contenants durables.

Crédit Image : Paul Gaudriault de Unsplash

Lors de la planification d’un voyage, il est important que le critère éco-responsable soit considéré pour le bien de la planète. Découvrez un classement des villes vertes, écologiques et les plus respectueuses de l’environnement d’Europe.

Environnement, Oslo s’engage à réduire les émissions de CO2

Aujourd’hui, avec le réchauffement climatique, l’actualité sur l’écologie fait souvent ressortir le terme « écoresponsable ». Dans ce contexte, Oslo, la capitale de la Norvège est en première position de ce classement des lieux les plus respectueux de l’environnement. Tout comme Braga, au Portugal, cet endroit contribue à éliminer les émissions de CO2 (dioxyde de carbone). Pour cela, la plupart des habitants vont travailler à vélo, en transports en commun à zéro émission ou à pied. Ceux-ci sont importants pour favoriser le tourisme durable.

Les villes vertes et écologiques d’Europe

Pour faire de l’écotourisme, l’un des critères à respecter est de visiter les villes vertes. Stockholm, en Suède figure en deuxième position de ce classement. C’est la première ville européenne à avoir remporté le Prix de la Capitale Verte, soit le European Green Capital Award. Celui-ci est offert pour encourager les villes vertes et écologiques dans leurs initiatives pour le respect de l’environnement et de la planète. Le projet « Grow smarter » de cet endroit permet de transformer les eaux usées en biocarburants. Ainsi, d’ici 2050, les carburants fossiles ne seront plus utilisés.

De plus, Reykjavik, la capitale de l’Islande se situe en 3^e position de cette sélection. Grâce à la topologie et la géologie uniques de ce pays, aide à alimenter la ville en énergies renouvelables en utilisant l’hydro-électricité et la géothermie. Comme le réseau des bus et des métros est géré par une motorisation à hydrogène, la qualité de l’air de cet endroit est bénéfique pour l’environnement.

Paris est respectueuse de l’environnement

Paris trouve toujours des moyens pour améliorer l’environnement et œuvrer pour un tourisme durable. Ce lieu est bondé de marchés bio, magasins responsables, pistes cyclables, produits locaux et zones piétonnes. Dans le cadre d’une démarche écologique, cette ville s’est engagée à proposer des logements moins énergivores. Pour l’environnement, elle contribue également à la création de multiples espaces verts et à la régulation de la circulation.

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Afin de respecter l’environnement, des écogestes sont à considérer. De plus, une alimentation saine est recommandée. Voici quelques aliments et nutriments qui sont à consommer pour la protection de la planète et de l’écosystème.

Les légumineuses sont bénéfiques pour l’environnement

La réduction de l’impact environnemental est un thème récurrent dans l’actualité sur l’écologie. Comme ils sont efficaces pour transformer l’azote que contient l’air, les légumineuses sont à consommer pour le respect de l’environnement. Cette substance est réutilisable par les plantes et est facilement exploitable. En plus d’être une source importante de vitamine B, de fibres et de protéines, les haricots sont bénéfiques pour l’écosystème. Les lentilles, les fèves et les pois ont une saveur douce et une texture similaire à celle de la viande. De ce fait, ils sont des substituts aux produits d’origine animale.

Comment manger mieux pour la planète et l’environnement ?

Une alimentation saine est efficace pour la protection de l’environnement. Outre le fait d’être riches en nutriments, en protéines, en acides gras et en antioxydants, les algues sont des aliments idéaux pour la planète. Certaines variétés d’algues peuvent remplacer la viande fans un régime végétarien ou végan, car elles ont une forte teneur en protéines. Considérée comme une algue super-écologique, la spiruline peut être cultivée n’importe où sans nécessiter de beaucoup de ressources. De plus, elle produit 16 tonnes d’oxygène annuellement. La nori, le wakamé ou le laver sont également les plus écologiques.

Les fruits et légumes locaux et de saison peuvent être cultivés de différentes manières. Ces derniers regorgent de nutriments comme les fibres et les vitamines. Ce sont ceux qui sont sans pesticides qui ont une place dans le classement des comestibles les plus écologiques et respectueuses de l’environnement et de l’écosystème. Les épinards, le brocoli, les carottes, les courges, le poivron et les tomates oranges, entre autres y figurent.

Environnement : les graines et céréales améliorent la biodiversité

De nos jours, au moins 60 % de la consommation céréalière mondiale proviendrait du maïs, du blé et du riz. Pour des causes sanitaires et écologiques, il est essentiel de diversifier les types de céréales. La diversification est excellente pour l’environnement et améliorer la biodiversité agricole en variant les sources de glucides. De ce fait, le quinoa, le teff, le sarrasin et le fonio blanc sont à favoriser.

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Il est tout à fait possible de réaliser une décoration esthétique et écologique. De nos jours, comme les Français sont soucieux de la planète, ils s’intéressent au recyclage des objets décoratifs et aux matériaux verts. Voici quelques idées déco pour une maison écolo et respectueuse de l’environnement.

L’upcycling est conseillé pour la décoration

De nos jours, de plus en plus de gens s’intéressent à l’actualité sur l’immobilier. Pour qu’une demeure contribue à la protection de la planète et au développement durable, une décoration d’intérieure verte est à privilégier. De ce fait, au lieu de jeter les vieux meubles, il est conseillé de leur donner une seconde vie en les transformant. Le terme utilisé pour décrire cette tendance récup est l’upcycling. Pour cela, des palettes, par exemple, peuvent être réutilisés pour réaliser un mobilier. En plus d’être écologique, ce concept rend le décor unique.

Quelques idées déco pour une maison écolo

Il est important que la décoration intérieure soit moderne, cocooning et cosy. Toutefois, de nos jours, celle-ci doit également être écologique. Pour cela, quelques idées déco sont à favoriser. De ce fait, des matériaux écolos et naturelles comme les fibres de coco, la toile de jute, le carton, ou le cuivre sont à utiliser. Il est également recommandé de bien choisir le revêtement de sol. De ce fait, un parquet en bois massif, en bambou ou en linoléum est à favoriser. Des enduits à base d’argile, de chaux, de lambris ou de plâtre sont parfaits pour la décoration murale. Toutefois, le papier-peint classique et des lambris PVC sont à bannir.

Le recyclage des vieux meubles et objets est à favoriser au lieu d’en acheter des neufs. Pour une décoration respectueuse l’environnement et de la planète, des broderies, de la poterie et la coutures sont des idées déco à avantager. Il existe aussi des tutoriels DIY en ligne qui aident à fabriquer des bougies à base de cire de soja pour relooker et décorer la demeure.

Décoration : de la nature pour le respect de l’environnement

Des cadeaux de la nature comme les galets, une jolie mousse et de la souche sont à intégrer dans la décoration intérieure verte. Pensez à installer des plantes « dépolluantes » pour purifier l’atmosphère. Les pots et les vases, la seconde main chinée brocante et ceux à base de matériaux peu polluants sont à choisir pour une décoration bénéfique à la planète.

Crédit Image : ArtTower de Pixabay

De nos jours, la pollution et la surconsommation des énergies fossiles nuisent à l’environnement et provoquent le réchauffement climatique. Afin de protéger la planète et l’écosystème, de nombreux écogestes sont à adopter pour diminuer son empreinte carbone et écologique.

Pour l’environnement, l’usage des transports en commun est à favoriser

Afin de lutter contre le changement climatique et pour protéger l’environnement, de nombreuses personnes s’intéressent à l’actualité sur l’écologie. Bien que les voitures soient des moyens indispensables pour se déplacer, ils produisent une quantité importante de CO2. Pour diminuer l’impact environnemental des véhicules, certaines mesures comme l’autopartage et le covoiturage sont à favoriser. Toutefois, pour éviter les émissions de gaz à effet de serre, il est conseillé de privilégier la marche ou l’utilisation du vélo.

Comment réduire son empreinte carbone ?

Il est important de contribuer à la protection de l’environnement et de la planète. Pour cela, l’un des écogestes à privilégier est de consommer des fruits et légumes locaux. L’Institut Worldwatch a prouvé que ces derniers font un trajet de pas plus de 2500 km pour aller de la ferme au supermarché. Il est aussi conseillé de planter des fruits et légumes pour sa propre consommation.

De plus, pour l’environnement, il est essentiel d’éviter le gaspillage alimentaire. Pour cela, préparez une liste d’ingrédients nécessaires avant d’aller faire les courses. Le fait de prévoir les menus de la semaine en avance permet d’acheter uniquement les produits qui vont être utilisés pour les différents repas. De plus, ceci aide à faire l’achat d’une quantité suffisante.

Environnement : les appareils électriques sont à éteindre

Pour le respect de l’environnement, de la planète et de l’écosystème, il est primordial de déconnecter les appareils électriques qui sont en veille. Les chargeurs des téléphones et ordinateurs portables sont à débrancher lorsqu’ils ne sont pas utilisés. En plus de contribuer au développement durable, ce geste permet de limiter la consommation énergétique.

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