Le ministère de la Santé français a annoncé dans un document officiel, la disponibilité d’un traitement préventif contre la bronchiolite chez les nouveau-nés. Appelé Beyfortus, ce médicament sera proposé à la vente vers la moitié du mois de septembre dans les établissements de santé en France.
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Un nouveau traitement préventif contre la bronchiolite en France
La bronchiolite est une affection respiratoire dont souffrent de nombreux nourrissons pendant l’hiver en France. Il est transmis par le virus respiratoire syncytial et touche environ 30% des nourrissons de moins de 2 ans chaque hiver. Le taux d’hospitalisation pour cette population est, quant à elle, de 2 à 3 % en cas d’affection sévère. Pour faire face aux épidémies qui surviennent en hiver, le ministère de la Santé a annoncé qu’un médicament destiné à prévenir la maladie sera disponible dès mi-septembre. La mise à disposition de ce médicament constituerait un des grands enjeux de la rentrée, en plus de la campagne d’information destinée aux parents, déclare le ministre de la Santé.
Une protection des bébés contre l’épidémie de l’hiver
Dans l’Hexagone, la dernière épidémie de bronchiolite en date a causé plus de 26 000 hospitalisations chez les moins de 2 ans, selon les services d’urgence. Le déploiement du traitement préventif constitue une réponse partielle au besoin médical relatif à la prise en charge de cette maladie respiratoire chez les tout-petits. Effectivement, les professionnels de la santé ne disposent pas encore de données pour étayer un éventuel impact de ce médicament sur la durée de l’hospitalisation et le transfert des patients vers les soins intensifs pour la réanimation. De même, il n’existe pas de chiffres exacts quant à l’impact de la prise de cet anticorps monoclonal sur la mortalité, précise la Haute Autorité de santé au remboursement.
Où et quand le médicament sera-t-il disponible ?
Le Beyfortus, développé par les groupes pharmaceutiques Astrazenica et Sanofi, est prévu pour être disponible au public dans les établissements de santé et dans les pharmacies d’officine, sur commande.
Les médecins pourront le prescrire aux nourrissons à partir du 6 février 2024 en métropole et l’administrer par injection musculaire unique. Les parents pourront se rendre en ville, dans les cabinets de médecine générale, dans les centres de santé, etc., afin de faire traiter leur enfant. Le ministère recommande également au personnel soignant de l’administrer à tous les nourrissons nés à partir du 15 septembre afin que ces derniers soient immunisés avant de quitter la maternité.
Des épidémies qui s’aggravent d’années en années ?
L’aggravation des épidémies ces dernières années en France peut être attribuée aux variations saisonnières du virus respiratoire syncytial (VRS). Des années avec une circulation virale plus intense peuvent entraîner des épisodes plus sévères. De plus, l’urbanisation croissante et la densité de population, notamment en Île-de-France, augmentent la transmission virale. La diminution de l’allaitement maternel, qui offre une certaine protection contre cette maladie ainsi que l’exposition précoce à d’autres enfants en crèche peuvent aussi contribuer à la propagation du virus. Enfin, le changement climatique pourrait influencer les épidémies en modifiant la saisonnalité des virus respiratoires.
Les bons gestes pour protéger les nourrissons contre cette affection respiratoire
L’une des stratégies les plus efficaces pour protéger les bébés contre ce virus consiste à maintenir une hygiène rigoureuse des mains en se lavant les mains régulièrement et en encourageant les visiteurs à faire de même. Les professionnels de la santé conseillent aussi d’éviter les contacts rapprochés avec des personnes malades ou présentant des symptômes respiratoires pour réduire le risque de transmission. Il est important d’aérer régulièrement la maison pour améliorer la circulation de l’air et de limiter l’exposition aux agents irritants tels que la fumée de tabac. Enfin, l’allaitement maternel, s’il est possible, est recommandé, car il renforce le système immunitaire du bébé.
Avec ETX/ DailyUp
]]>Le vélo n’a jamais été le mode de transport idéal à Rome avec ses routes notoirement cahoteuses. Toutefois, la pandémie a permis aux vélos de se faire, petit à petit, une place dans la circulation.
Le vélo se fait une place dans la circulation romaine
Les rues désormais vides de Rome, à cause des restrictions sanitaires liées à la pandémie, offrent une bouffée d’air frais aux cyclistes. La tendance a été accélérée par un nouveau réseau de pistes cyclables et des aides publiques à l’achat de vélos. Cependant, beaucoup de citadins hésitent toujours à se lancer sur un vélo dans la jungle routière romaine.
Le soutien du gouvernement aux cyclistes
Le gouvernement offre une subvention, allant jusqu’à 500 euros, à tous les Italiens qui souhaitent s’acheter un vélo neuf ou d’occasion ou un scooter électrique. Le programme a reçu pas moins de 119 000 demandes en 2020. Durant la même année, le maire de Rome avait annoncé 150 kilomètres de nouvelles pistes cyclables, censés se rajouter aux 250 km existants et rapprocher la capitale italienne de son objectif de 500 km.
Des pistes cyclables dans un état lamentable
L’association Legambiente a fait ressortir que 15 km seulement des 150 km annoncés pour le vélo ont été réalisés. La plupart d’entre elles sont temporaires et délimitées par un trait de peinture qui ne sépare pas en sécurité les cyclistes et les automobilistes. Les routes sont en si mauvais état que les fabricants de scooters en font leurs circuits de test pour éprouver les suspensions de leurs nouveaux modèles.
Le témoignage d’une cycliste
Valeria Picchi, une jeune femme de 36 ans, a vendu son scooter pour opter pour un vélo électrique. Son véhicule est assorti d’une petite remorque pour emmener ses deux enfants à l’école avant d’aller travailler. Elle a franchi le pas grâce à la subvention proposée par l’état et se sent « comme un oiseau rare ».
Avec l’ETX Studio/AFP
]]>Alors que la pandémie l’a certes affaibli, le rouge à lèvres revient en force avec un coloris inattendu. Cette annonce devrait insuffler un bon volume d’optimisme dans le quotidien des make-up addicts.
Le rouge à lèvres n’a pas dit son dernier mot
Relégué au second plan par le port du masque en raison de la pandémie mondiale de la Covid-19, le rouge à lèvres ne s’efface toutefois pas totalement. Il fait un retour en grande pompe dans l’univers des cosmétiques dans une version encore plus audacieuse, une orange qui ne pourra pas passer inaperçue cet été.
L’orange pour illuminer les lèvres
Il reste à savoir si les femmes pourront afficher le nouveau rouge à lèvres en vrai ou si cet essentiel make-up devra se contenter d’être la star des photos postées sur les réseaux sociaux. La couleur orange offre des looks remplis de pep’s et permet de réaliser des mises en beauté audacieuses.
Rajoutez ce coloris vibrant dans votre trousse de maquillage
Depuis l’avènement de la pandémie fin 2019, c’est plutôt la mise en beauté sobre qui est privilégiée, surtout pour la bouche, car elle est cachée par le masque en public. Ce nouveau rouge à lèvres lancé en pleine Covid-19 mise sur un besoin d’optimisme, de gaieté et de fraîcheur dans la période la plus sombre de l’histoire de l’humanité.
Le lipstick fait l’unanimité sur les réseaux sociaux
Pour présenter ce rouge à lèvres, les influenceuses s’y succèdent sur les réseaux sociaux. Les vues pour le hashtag « #orangelipstick » continuent à se multiplier. Cet essentiel make-up figure également dans de nombreuses vidéos dédiées aux tendances de printemps 2021.
Avec l’ETX Studio/AFP
]]>Parmi les conséquences directes de la pandémie, on compte un mal-être général, l’anxiété, le stress ou encore la dépression. Les professionnels continuent à tirer la sonnette d’alarme concernant la santé mentale en cette période incertaine.
Prendre en main sa santé mentale
Pour faire face, de la meilleure façon, à cette période incertaine liée à la pandémie, les gens semblent eux-mêmes vouloir prendre en main leur bien-être. Afin de ne pas se laisser aller face à cette crise mondiale qui a débuté il y a plus d’un an, il faut avant tout se soucier de sa santé mentale et adopter les bonnes pratiques.
La pleine conscience aide à maintenir une bonne santé mentale
La pleine conscience est une forme de méditation qui peut être pratiquée debout, assis, en marchant, les yeux ouverts ou fermés. Elle peut se faire silencieusement ou en répétant un mot avec l’esprit concentré sur la respiration ou sur une image. Vivre en pleine conscience consiste à prêter attention au moment présent.
Avez-vous essayé la méthode Coué ?
La méthode Coué est fondée sur l’autosuggestion et l’autohypnose. Comme la méditation, elle provoque un mieux-être psychologique ou physique et se veut autant préventive que curative. Un intérêt croissant pour la méthode Coué a été démontré par les internautes à travers le monde.
Les recherches sur la santé mentale augmentent
Selon une analyse de Swasti Sarna, Insights Manager chez Pinterest, les clics sur le bien-être mental continuent d’augmenter depuis 2020. Le yoga, l’équilibre intérieur, l’ergothérapie ou encore le Feng shui sont au cœur des recherches.
Avec l’ETX Studio/AFP
]]>Alors que les vêtements professionnels comme les tailleurs et les costumes ont été rangés dans les placards depuis le début du coronavirus en 2020, le jogging et le pyjama figurent désormais dans les codes vestimentaires pour plus de confort pendant le travail.
Les codes vestimentaires ne sont plus les mêmes qu’auparavant
Le styliste Sascha Lilic ironise la situation en expliquant que « depuis mars 2020, tout le monde s’habille à partir de la taille, pour les réunions Zoom ». La généralisation du télétravail a changé les codes vestimentaires. Même si les vaccins pourraient ramener un peu plus de formalisme dans le dress code, la tenue professionnelle s’allie désormais au confort et l’habillement serait moins strict.
Un laisser-aller ambiant au travail
Pour ceux qui sont déjà retournés dans leurs lieux de travail malgré les dégâts qui continuent d’être causés par la pandémie, un laisser-aller a été remarqué concernant les codes vestimentaires. Deanna Narveson, journaliste à Baton Rouge en Louisiane, raconte qu’elle a vu quelqu’un traverser le bureau en chaussettes pour bouger d’un département à un autre.
Selon les personnes qui ont été interrogées sur la tenue professionnelle décontractée, tout s’est fait dans le non-dit, sans que DRH et directions n’interviennent. Matt Triner, patron de l’entreprise de conseil informatique Hunter Strategy, explique que les habits confortables comme « des shorts et des t-shirts au Pentagone, c’est assez nouveau ». Le costume-cravate a presque volatilisé avec cette liberté vestimentaire !
L’assouplissement des codes vestimentaires
Les analyses démontrent que l’assouplissement des codes vestimentaires dans l’univers professionnel avait déjà commencé depuis bien avant la pandémie. Cette nouveauté dans le style vestimentaire formel a été emmenée par le secteur de la tech et de la génération start-up.
Avec l’ETX Studio/AFP
]]>La grand-messe du secteur des télécoms aura finalement lieu « physiquement » en 2021 après avoir été annulée en 2020. Le salon mondial, aussi connu comme Mobile World Congress (MWC), se tiendra à Barcelone du 28 juin au 1er juillet.
Les annonces concernant le salon mondial
Une porte-parole de GSMA, association internationale d’opérateurs télécoms qui organise ce grand salon mondial attirant en temps normal quelque 100,000 participants, a annoncé le 23 février 2021 que l’évènement sera organisé « physiquement » en juin-juillet. Fin septembre 2020, les organisateurs avaient annoncé le report de la nouvelle édition à cause de la pandémie alors que le salon mondial se tient habituellement en février-mars.
La sécurité sanitaire sera assurée
La porte-parole a ajouté que les organisateurs travaillent pour faire en sorte que le salon mondial de la téléphonie mobile puisse se dérouler de la façon la plus sûre possible pour tous les participants, dont les opérateurs mobiles. Dans les semaines à venir, le plan de sécurité sanitaire sera dévoilé en détail.
Le plan de sécurité sanitaire va inclure des tests obligatoires, la distanciation sociale ainsi que l’utilisation des masques appropriés. Un renforcement de l’hygiène est prévu. Il faut noter que le CES de Las Vegas, autre rendez-vous annuel de la technologie, s’est tenu entièrement en ligne en janvier pour cause de pandémie.
Les autres salons qui auront ou n’auront pas lieu
Plusieurs salons professionnels ont annulé leurs éditions 2021 dû à la pandémie du coronavirus. On compte parmi eux le salon aéronautique de Bourget en France ainsi que celui de l’automobile à Genève. Celui dédié au tourisme Fitur se fera de manière présentielle du 19 au 23 mai.
Avec l’ETX Studio/AFP
]]>Lors des réunions familiales de Noël et des fêtes de fin d’année, l’OMS (l’Organisation mondiale de la Santé) recommande le port du masque. Cette annonce a été faite le 16 décembre 2020.
Un avertissement de l’OMS
L’OMS a lancé un avertissement sur le risque élevé d’un nouveau rebond de l’épidémie début 2021. La branche européenne de l’organisation indique que compte tenu de l’évolution du coronavirus en Europe, une nouvelle résurgence dans les premières semaines et premiers mois de l’année prochaine serait très probable.
Maintenir les gestes barrières pendant la période festive
L’OMS recommande de continuer à maintenir les gestes barrières comme le port du masque, la distanciation sociale et le lavage des mains durant la période festive. Même s’il semble gênant de porter le masque en présence de membres de la famille et d’amis, il s’agit d’un geste qui contribue grandement à garantir que « chacun reste en sécurité et en bonne santé ».
Les rassemblements doivent avoir lieu, dans la mesure du possible, en extérieur pour plus d’aération. Si elles se font à l’intérieur, il faudra limiter le nombre d’invités et bien ventiler afin de limiter les risques de propagation de l’épidémie, conseille l’OMS. À l’approche de Noël, de nouvelles mesures sanitaires entreront en vigueur dans les pays ou le niveau de contaminations au coronavirus est jugé préoccupant.
La situation liée au coronavirus en Europe
La zone européenne de l’OMS, qui se compose de 53 pays, a enregistré plus de 22 millions de cas de la Covid-19 et près de 500,000 morts depuis le début de l’épidémie. Environ 1,7 million de nouveaux cas de contamination ont été enregistrés du 9 au 16 décembre 2020.
Avec l’AFP/Relaxnews
]]>Le nouveau coronavirus pourrait rester sur l’acier des poignées de porte jusqu’à trois jours selon de nombreuses études. Pour nettoyer cette surface et ainsi éviter le risque de transmission du virus, une innovation sera dévoilée en 2021.
Désinfecter instantanément les poignées de porte
Le nettoyage et la désinfection régulière et automatique des poignées de porte en cette période de Covid-19 sera bientôt possible. Cette innovation est signée par une start-up suisse spécialisée dans la technologie sans contact. Elle vise à protéger et à faciliter la vie des gens pendant la crise sanitaire.
En quoi consiste cette technologie de la start-up suisse ?
Concrètement, la désinfection automatique se fera à travers une bague qui balaye toute la longueur de la poignée après que celle-ci ait été saisie. Cet anneau en aluminium projette du produit antibactérien sur son passage et serait capable d’éliminer les germes/bactéries à 99,9%. Dès que les poignées de porte sont touchées, la technologie s’active en moins de trois minutes.
La nouveauté technologique s’adapte à tous les types de poignées de porte selon Tweaq, l’enseigne qui la lancera en 2021. La bague peut balayer la surface à mille reprises, après quoi il faudra changer la cartouche de recharge de produit désinfectant ou de gel hydroalcoolique.
La start-up suisse mise sur l’économie circulaire
Pour recevoir une nouvelle cartouche pleine de liquide désinfectant, il faudra renvoyer celle qui est vide, car il n’est pas question de la mettre à la poubelle. La marque mise ainsi sur l’économie circulaire. Grâce à une application sur smartphone, il est possible de savoir quand il faut recharger ou combien de fois la poignée a été touchée.
Avec l’AFP/Relaxnews
]]>Dans un hypermarché en Corse, de la périphérie d’Ajaccio, deux tunnels de désinfection ont été installés à l’entrée. Le but de cette initiative est de casser la chaîne de propagation de la pandémie de la Covid-19.
Une description des tunnels de désinfection
Les nouveaux tunnels de désinfection ressemblent à des portiques de détection de métaux. Les appareils diffusent des ultraviolets, des ultrasons ainsi qu’une solution désinfectante. Les nouveautés technologiques ont été installées à l’entrée de l’hypermarché en Corse le 9 novembre 2020.
Des équipements destinés à contrer la pandémie de la Covid-19
Les tunnels de désinfection de l’hypermarché promettent de désinfecter à trois niveaux pour éliminer tout virus, microbe et bactérie. Cela se passe par ultrasons, par lumière ultraviolet et brumisation d’une solution hypochloreux. Ces informations ont été communiquées par Paul-Antoine Lanfranchi, directeur de l’entreprise Cose Chimie Industrie qui commercialise en Corse ces équipements.
Découvrez comment fonctionnent ces appareils désinfectants
Chaque client prend sa température en approchant la paume de sa main d’un thermomètre infrarouge intégré. Puis il passera dans le sas métallique éclairé de bleu qui diffuse le désinfectant par des micro brumisateurs. Le concepteur précise qu’il faut tout de même garder son masque pour limiter la transmission du virus.
Le propriétaire de la grande surface s’explique
François Padrona, propriétaire de Leclerc, où ont été installés ces dispositifs, explique que la pandémie a fait qu’il faut d’un côté sensibiliser les clients sur les gestes barrières et de l’autre rassurer les employés. Selon lui, les tunnels de désinfection sont très novateurs.
Avec l’AFP/Relaxnews
]]>En Californie, les parcs d’attractions sont fermés depuis le début de la pandémie de la Covid-19. Après plusieurs mois de fermeture, ils décident finalement de rouvrir leurs portes.
Des règles très strictes pour les parcs d’attractions
Le 20 octobre 2020, les autorités de la Californie ont édicté des règles strictes pour la réouverture des parcs à thèmes du pays. Toutefois, la mise en place de ces protocoles indique que la reprise des activités pour ces lieux de divertissement n’est pas envisageable avant au moins plusieurs semaines.
Les mesures sanitaires pour la réouverture
Le but des parcs d’attractions est d’avoir une réouverture responsable, sur la base de mesures sanitaires fondées sur la science et la sécurité mise en œuvre de manière stricte. Il faut noter que même après avoir reçu le feu vert, ces établissements ne pourront rouvrir qu’à 25% de leur capacité d’origine. Les visiteurs devront porter des masques à tout moment, sauf pour manger ou boire.
Le déconfinement par zone pour les espaces divertissants
Les grands parcs comme Universal Studios et Disneyland ne pourront accueillir les gens que lorsque la zone sera passée en « jaune » pour la contamination au coronavirus. Cela correspond au niveau quatre qui est le moins restrictif. Les lieux les plus modestes seront, quant à eux, autorisés à ouvrir leurs portes à partir du niveau trois en respectant bien sûr les mesures sanitaires.
Le gouvernement californien fait face à des critiques
Le président de Disneyland, Ken Potrock, a critiqué avec vivacité les critères retenus par les autorités californiennes. Il les accuse de précipiter la faillite de nombreuses petites entreprises liées au parc qui se situe à Anaheim.
Avec l’AFP/Relaxnews
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