Dans le secteur de l’automobile, Toyota est certainement l’un des plus grands noms. Le constructeur japonais a d’ailleurs fait de très belles ventes au cours de 2023 sans avoir oublié de mettre l’emphase sur l’électrique.
Automobile : un succès incroyable en 2023…
En 2023, le groupe constructeur japonais Toyota a une fois de plus établi des records de ventes à travers les annonces de voitures ou autres, confirmant sa position de leader sur le marché automobile mondial. Ce succès remarquable est attribué en grande partie aux nouveaux modèles de voitures non-thermiques, un secteur dans lequel le constructeur s’est solidement positionné.
Bien que les chiffres du mois de décembre soient encore attendus, il est prévisible que le constructeur nippon maintienne sa position dominante, surpassant son concurrent allemand, Volkswagen. Avec les marques emblématiques Toyota et Lexus, le fabricant japonais est sur le point de franchir la barre impressionnante des 10 millions d’exemplaires vendus au cours de l’année.
Toyota est un leader mondial dans son domaine
Les véhicules Toyota jouissent d’une popularité mondiale indéniable. Au Japon, la firme enregistre une croissance impressionnante de 27% de ses transactions, tandis qu’en Chine, elle affiche une progression de 17%. Aux États-Unis et en Europe, la demande reste forte, avec une augmentation respective de 10%. En France, l’usine Toyota d’Onnaing tourne à plein régime, contribuant ainsi à la réussite globale du groupe sur le marché européen. En Afghanistan, l’automobile Toyota Corolla a conquis le cœurs des conducteurs pour sa robustesse.
Crédit photo : Cicero7 de Pixabay
L’automobile électrique est un atout incontournable pour Toyota
L’électrification semble être le moteur majeur de cette performance exceptionnelle. En s’identifiant clairement comme un acteur majeur dans le domaine de la mobilité électrique, le groupe japonais a su répondre aux attentes croissantes des consommateurs pour des solutions plus durables et écologiques. Cette stratégie a non seulement renforcé la réputation du constructeur automobile, mais a également stimulé les ventes à l’échelle mondiale.
Anticiper et évoluer sur le marché automobile
On peut dire que le succès continu du groupe japonais en 2023 témoigne de sa capacité à anticiper et à s’adapter aux évolutions du marché automobile, en particulier dans le domaine de l’électrification. Avec des performances exceptionnelles dans diverses régions du monde, le constructeur japonais confirme sa position de leader et laisse présager une année à venir tout aussi prometteuse sur le plan commercial et technologique.
]]>Le greenwashing suscite la méfiance des consommateurs, notamment en matière de mode. Les marques de vêtements multiplient les communications autour de l’environnement. C’est ce qui a d’ailleurs créé le greenhushing, un phénomène se traduisant par la crainte des enseignes dites « éco-responsables ».
Greenwashing : les marques de vêtements font de la pub pour blanchir leur réputation
Les grandes marques de mode sont connues pour leurs activités qui polluent excessivement la planète. Ainsi, elles dépensent beaucoup d’argent en communication pour améliorer leur image, c’est pourquoi on parle de greenwashing. Aujourd’hui, les consommateurs ne se laissent plus influencer par ces communications et déclarations trompeuses et attendent une action concrète et une transparence de la part des entreprises. C’est ce qui découle d’une récente étude réalisée au Royaume-Uni. En effet, l’enquête a révélé que l’industrie de la mode est l’un des secteurs les moins fiables aux yeux des consommateurs.
Les consommateurs dénoncent les actions trompeuses de certains fabricants de vêtements
Greenwashing, French wash ou sportswear… Depuis la pandémie de Covid-19, ces termes reviennent souvent lorsqu’on parle de mode. Ils sont fréquemment utilisés par certaines marques de vêtements qui veulent améliorer leur image dans certains domaines comme l’environnement. À l’heure actuelle, de nombreuses entreprises de mode parlent encore de leurs engagements environnementaux. La plupart d’entre elles disent vendre des produits « Made in France », écoresponsables ou éthiques, alors qu’ils ne le sont pas réellement. Il s’agit du greenwashing qui, pour rappel, est fait pour blanchir la réputation des marques de vêtements.
Actualité à écouter
Greenhushing : méfiance accrue des acheteurs à l’égard des entreprises écoresponsables
Il faut savoir que le greenwashing a entraîné un autre phénomène connu sous le nom de « greenhushing ». En effet, celui-ci se traduit par la méfiance envers les marques qui fabriquent réellement des produits écoresponsables. Face à toutes ces informations, les consommateurs se perdent et ne savent plus qui croire. Résultat ? Les marques de mode perdent peu à peu la confiance du public. C’est du moins ce qu’affirme le résultat d’une enquête menée par le cabinet Sensu Insight* auprès de 1 682 adultes britanniques.
Environnement : les Britanniques n’ont pas confiance, ne croient pas les déclarations des marques
Dans tous les secteurs, un peu moins d’un quart des consommateurs britanniques (23%) déclarent prendre à la lettre les déclarations environnementales des marques. Une minorité affirme qu’elle ne croit tout simplement pas à ces affirmations (14%) et pense que c’est du greenwashing. La grande majorité (71%) affirme qu’il est peu probable qu’elles aient été vérifiées ou contrôlées par un expert indépendant ou un régulateur.
Avec ETX/DailyUp
]]>En tant que catalyseur de la « révolution industrielle », la nouvelle génération de réseau pour nos téléphones portables sera en vigueur en France à partir du 18 novembre 2020. Ceci, bouleversera-t-elle le quotidien des consommateurs ?
Téléphones mobiles : pourquoi ce changement ?
Les téléphones passent maintenant à la cinquième génération suivant les technologies 2G, 3G et 4G. Les premières technologies ne permettaient que les appels vocaux, puis les SMS. Le réseau actuel permet de développer de nouveaux usages : se connecter à Internet, accéder aux applications et même passer des appels vidéo. Comme ses prédécesseurs, la 5G améliorera les services existants et favorisera le développement de nouvelles possibilités pour nos téléphones.
Plus de débit pour les téléphones des consommateurs
Comme lorsque la connexion 3G est passée à la 4G, les consommateurs ne doivent pas s’attendre à des différences significatives sur le court terme pour leurs téléphones. Bien qu’elle devrait fournir jusqu’à dix fois la vitesse, les opérateurs mobiles comptent principalement sur son lancement pour gérer la croissance du trafic et éviter la saturation de leurs réseaux.
Les smartphones compatibles à cette connexion
Actuellement, peu de fabricants se positionnent sur la fabrication de téléphones compatibles à cette future technologie. Samsung, Oppo, Huawei et même Xiaomi ont fait part de leurs ambitions d’en produire. Nous pouvons tout de même compter sur quelques modèles qui sont déjà disponibles sur le marché dont le Samsung Galaxy Note 20 Ultra, l’Iphone 12 d’Apple ou encore le Oneplus 8T entre autres.
Une structure téléphonique plus performante à partir de 2022-2023
En constante évolution, les performances de cette technologie vont vraiment s’améliorer, en particulier en termes de débit et de latence. Dans un premier temps, les antennes seront installées via l’infrastructure 4G. Elles ne pourront réaliser leur pleine mesure qu’une fois sur une infrastructure réseau 100 % 5G. Dans la deuxième phase de déploiement, en 2022-2023, les perspectives industrielles de cette téléphonie devraient se concrétiser.
]]>Malgré la crise, bon nombre de consommateurs souhaitent concrétiser leur projet d’achat de voiture, d’après l’Ipsos. Bonne nouvelle pour le secteur automobile, qui a subi la pandémie de plein fouet.
Automobile : la voiture séduit toujours autant en Europe
Selon une étude d’Ipsos, les Français qui voulaient acheter une voiture avant la crise sanitaire tiennent toujours à se jeter à l’eau. D’ailleurs, l’enquête note que certains sont même plus enclins à acquérir une automobile maintenant qu’avant le confinement (27 %). Le taux est plus élevé par rapport à l’Espagne, au Royaume-Uni (21 %) et l’Italie (20 %).
Quels sont les motifs des consommateurs pour l’achat d’un véhicule ?
Pour les consommateurs ayant participé à cette étude, la voiture se présente comme un mode de déplacement plus sûr que les transports en commun au niveau sanitaire. Également soucieux de leur empreinte carbone, 42 % des sondés souhaitent que les Français se tournent vers une automobile électrique dans le futur.
Quand il s’agit d’acheter leur nouvelle voiture, près d’un quart des participants (24 %) sont nombreux à opter pour la vente en ligne plutôt que de se rendre en concessions. Avec la pandémie, les sondés veulent donc continuer à pratiquer les mesures de distanciation sociale pour se protéger du virus.
Acquisition d’une automobile : quelle est la situation à l’étranger ?
À l’étranger, les participants au sondage sont moins enclins qu’ils l’étaient avant la crise à acheter une voiture : 51 % en Italie, 47 % en Espagne, 28 % en Allemagne et 24 % en Angleterre. En effet, les Européens des pays voisins craignent le déclenchement d’une grande crise économique. Ils préfèrent donc ne pas faire de dépenses conséquentes importantes en achetant une automobile.
]]>D’après le dernier baromètre Boulanger-Ifop 2019, les consommateurs sont surtout à la recherche d’objets connectés plus durables pour les fêtes de fin d’année. De nombreuses personnes offriront d’ailleurs un appareil numérique pour Noël.
Objets connectés : de nouvelles attentes selon un baromètre
Le taux de personnes projetant d’offrir un appareil numérique cette année est de 26 %, soit 3 % de plus comparé à 2018. Cependant, si l’engouement pour les objets connectés semble toujours le même, les attentes, elles, ont changé, si l’on se fie au dernier baromètre Boulanger-Ifop 2019.
Un appareil numérique pour quoi faire ?
Quel est l’intérêt des objets connectés pour les consommateurs ? Selon ce baromètre, 28 % des Français estiment que ces appareils sont un moyen pour eux de gagner du temps et de mieux gérer leur journée. 15 % trouvent qu’il s’agit d’une manière de réaliser des économies d’énergie et de sécuriser sa maison pour 13 %.
Des produits high-tech pour la préservation des ressources naturelles ?
Interrogées dans le cadre de ce baromètre, 69 % des personnes estiment que l’achat d’un objet connecté peut aider à préserver les ressources naturelles. Ainsi, 48 % se disent prêt à se tourner vers les objets connectés reconditionnés. Soulignons que la plupart des sondés, 70 % pour être plus précis, ne comptent pas dépenser plus de 250 euros pour acheter un gadget high-tech.
Technologie : les gadgets les plus prisés
Les montres et bracelets sont les objets connectés (36 %) les plus prisés par les consommateurs, à en croire ce baromètre. Viennent ensuite les assistants vocaux pour 19 % des participants à ce sondage.
]]>L’Observatoire de l’alimentation de l’Anses et de l’Inra révèle que les aliments industriels contiennent de moins en moins d’additifs. Les consommateurs ont en effet tendance à adopter un mode de vie plus sain et surveillent de près ce qu’ils mettent dans leur assiette.
Des additifs dans bon nombre d’aliments
D’après cette enquête se portant sur 30 000 produits alimentaires, 78 % des aliments contiennent au moins un additif. 53 % en comportent au moins 3 et 4 % au moins 10. Ce sont les viennoiseries, les desserts surgelés, les produits traiteurs frais, les glaces et sorbets qui sont composés du plus grand nombre de ces substances chimiques, indique l’Anses.
Les consommateurs surveillent leur alimentation
Ces derniers temps, les consommateurs ont été plus sensibles à leur santé et ont donc fait des efforts côté alimentation. Ils sont à la recherche d’aliments contenant le moins d’ingrédients chimiques possible. Forts de ce constat, les industriels ont dû diminuer la quantité d’additifs qu’ils mettent dans leurs produits.
Actualité à écouter
Seuls quelques additifs régulièrement utilisés
La réglementation européenne autorise l’utilisation de 400 additifs sur le marché alimentaire. Néanmoins, seul un petit nombre est utilisé régulièrement. En effet, 42 substances sont retrouvées dans au moins 2 % de l’ensemble des aliments, mais uniquement 8 ont été identifiées dans au moins 10 % de ces denrées alimentaires.
Consommation : quelles sont les substances les plus utilisées ?
D’après cette étude de l’Anses et de l’Inra (Institut national de recherche agronomique), c’est l’acide citrique (E330, un régulateur d’acidité) que l’on retrouve dans le plus d’aliments, soit dans 23 %. Viennent ensuite les amidons modifiés, qui font office d’épaississants, et les lécithines (E322, émulsifiants).
]]>La vente à la ferme est une activité répandue en France. Toutefois, les espaces ouverts à l’auto-cueillette se font rares. À noter que ce système de libre-service offre plusieurs avantages aux consommateurs.
L’auto-cueillette, une activité intéressante pour les familles
Il est possible de faire de l’auto-cueillette un vrai moment de détente et d’apprentissage en famille. Cette activité privilégie des moments de complicité entre parents et enfants. Anna-Maria de Kermoysan, une femme de 64 ans, explique qu’elle apprend à ses petits-enfants « […] à ne pas cueillir n’importe quoi, n’importe comment ».
Un libre-service qui rapproche producteurs et consommateurs
Bruno Cochin, l’un des pionniers de cette pratique explique que généralement, les producteurs n’aiment pas recevoir des gens dans leurs champs. Ce pourquoi l’auto-cueillette est assez rare. Elle est tout de même une activité qui relie les consommateurs et les agriculteurs, car elle permet aux clients de cueillir directement dans les champs.
L’auto-cueillette, cueillir les fruits et légumes directement chez les producteurs © JPWALLET / Istock.com
Quels sont les atouts des fermes cueillettes ?
L’auto-cueillette offre la possibilité de choisir soi-même ses fruits et légumes dans des exploitations agricoles. Les fermes cueillettes contribuent au bien-être de l’environnement, car il n’y a pas d’emballages. Elles permettent de manger plus sainement ainsi que de faire des économies. L’activité permet aussi d’avoir des aliments bio et locaux.
La Ferme du Logis dans les Yvelines
C’est Bruno Cochin qui a eu l’idée de proposer cette activité dans son exploitation familiale à Jumeauville à la fin des années 1970. La Ferme du Logis accueille les clients dans son champ qui s’est transformé en libre-service depuis 40 ans maintenant.
]]>Selon une étude d’OpinionWay, les Françaises ne se fient plus seulement aux marques, aux campagnes publicitaires et au packaging des produits lorsqu’elles achètent des cosmétiques. Elles portent une attention particulière à leur composition.
Produits cosmétiques : les facteurs déterminants lors de l’achat
Lorsqu’elles achètent des produits de beauté, 62 % des consommatrices vérifient d’abord le prix, et ensuite les ingrédients utilisés pour les concevoir (58 %). 55 % d’entre elles s’assurent de leur efficacité, 24 % font attention à la réputation de la marque et 21 % sont particulièrement attentives aux engagements pris par la griffe concernée. 9 % se fient quant à elles aux avis des consommateurs.
Les ingrédients bio sont privilégiés
Lors de l’achat de leurs produits cosmétiques, certaines acheteuses optent pour des ingrédients biologiques. 59 % d’entre elles indiquent qu’elles font ce choix pour éviter d’utiliser des composants nocifs pour la santé et 56 % veulent acheter un produit de beauté qui respecte l’équilibre de la peau. 50 % des répondantes le font quant à elles pour la cause environnementale.
Les cosmétiques vus par les Françaises © Davizro/Itsock.com
Ainsi, selon cette étude, 86 % des femmes disent faire confiance aux produits certifiés d’origine naturelle. 84 % d’entre elles privilégient les cosmétiques authentifiés bio et d’origine naturelle. Ce sont notamment les produits d’hygiène qui sont favorisés (52 %), puis les soins du visage (49 %) et les soins corporels (46 %).
Qu’en est-il du maquillage biologique ?
Comparé aux autres cosmétiques, il semblerait que le maquillage authentifié biologique n’ait pas réussi à séduire les consommatrices. Seules 28 % ont déjà acheté ce type de maquillage.
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