Tendance qui a fleuri au fil des années, l’alimentation vegan recèle de nombreux bienfaits pour la santé. Une nouvelle étude vient prouver les atouts d’un régime végétalien pour augmenter les niveaux sains de biomarqueurs dans l’organisme, pour la prévention de certaines maladies.

Préserver sa santé en adoptant une alimentation vegan 

Par le passé, des études conduites à l’Université Loma Linda avaient révélé que les végétariens avaient une espérance de vie plus élevée de ceux qui consomment de la viande. Ils étaient aussi moins susceptibles de souffrir de certaines maladies comme le cancer, ou encore le diabète. Cette fois, une étude s’est intéressée à l’alimentation vegan et ses effets positifs sur la santé. 

Pourquoi suivre un régime végétalien ?

Pour répondre à cette question, les chercheurs indiquent que le fait d’avoir une alimentation vegan permettrait « d’obtenir un profil de biomarqueurs plus sain ». Les biomarqueurs, présents notamment dans le sang, les cellules graisseuses et l’urine, permettent de prévenir certaines maladies, mais aussi de les détecter. En changeant ses habitudes alimentaires en faveur d’un régime végétalien, il est donc possible de rester en meilleure forme physique.

Pour démontrer cela, cette étude s’est intéressée à 800 personnes, certaines suivant une alimentation vegan, d’autres un régime végétarien lacto-ovo, pesco-végétarien, ou encore semi-végétarien. Ce sont les végétaliens qui ont obtenu les meilleurs résultats en termes de marqueurs bioactifs. Ils avaient aussi un taux plus élevé de caroténoïdes, de isoflavone, ou encore d’oméga-3.

Perte de poids et réduction des risques de maladies cardiovasculaires 

Une alimentation vegan est plus un mode de vie qu’un régime en lui-même. Puisqu’elle nécessite une cuisine fait maison dans la plupart des cas, il est donc possible d’éviter les produits transformés et industriels. S’en suit alors une perte de poids et une réduction des risques de souffrir d’obésité. De ce fait, consommer uniquement des végétaux permet de réduire ses chances de contracter une maladie cardiovasculaire.

L’adaptation cinématographique de la série britannique « Downton Abbey » se dévoile au public dans un premier trailer. Ce drame sortira le 25 septembre 2019 dans les salles de cinéma françaises.

Drame « Downton Abbey » : découvrez de nouvelles images 

Les membres de la famille Crawley font leur grand retour, cette fois dans un drame sur grand écran. Dans ce premier trailer de « Downton Abbey », il est possible de voir l’arrivée de George V et de son épouse Mary au château. La bande-annonce s’ouvre avec la voix de Lord Graham, qui déclare ceci : « Aucune femmes de chambre, valets ou nourrices ne doivent être là. Nous sommes en 1927 et nous sommes modernes ! ».

Les acteurs de la production originale au rendez-vous de cette adaptation cinématographique

Cette adaptation cinématographique place son intrigue un an après la fin de la série britannique. Réalisé par Michael Engler, ce drame met en avant les acteurs ayant fait le succès de la production télévisée « Downton Abbey », à l’instar de Maggie Smith, Michelle Dockery, Hugh Bonneville ou encore Laura Carmichael. 

Le drame « Downton Abbey » accueille aussi de nouveaux comédiens. On retrouve par exemple Imelda Staunton, qui avait été nommée aux Oscars en 2015 pour son rôle dans « Vera Drake ». Ce film historique profite également du talent de Simon Jones, de David Haig et Kate Phillips, connue pour « Peaky Blinders ».

Une série britannique très appréciée 

La production « Downton Abbey » a rencontré un succès planétaire phénoménal, raison pour laquelle les producteurs ont décidé d’en faire un drame sur grand écran. Avec 69 nominations, il s’agit en effet de la série non américaine la plus citée de l’histoire des Emmy Awards.

Selon une étude, le seul fait de pratiquer une heure d’exercice physique par semaine peut aider les seniors à préserver leur autonomie motrice. Cela s’applique notamment à ceux qui souffrent de douleurs articulaires. 

Les bienfaits de l’exercice physique dans une étude

Pour cette étude, les chercheurs ont observé les habitudes d’exercice physique de plus de 1 500 personnes âgées de 49 à 83 ans sur une période de 4 ans. Ces patients avaient des problèmes au niveau des articulations des membres inférieurs, mais étaient tout de même considérés comme « mobiles ». Cela veut dire qu’ils pouvaient réaliser des gestes quotidiens comme le fait de s’habiller ou encore de prendre un bain. 

Le rôle de l’activité sportive sur la mobilité des seniors 

Les scientifiques ont surveillé l’activité sportive et l’accélération des mouvements des participants à l’aide de capteurs. Dorothy Dunlop, l’une des auteures de cette étude, indique que l’objectif de ces recherches était de savoir quel type d’exercice physique permettrait d’être protégé d’un handicap.

Les résultats de cette étude ont démontré que pratiquer une heure d’exercice physique par semaine pourrait permettre aux retraités de réduire leurs risques de perdre leur mobilité de 85 %. Du côté de ceux qui ne s’adonnaient pas à une heure d’activité sportive hebdomadaire, 24 % marchaient trop lentement pour traverser la rue et 23 % avaient des soucis pour effectuer leur routine matinale, précise l’étude.

Les recommandations de l’OMS pour rester en forme

Pour rester en forme, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) recommande aux adultes de faire 2h30 d’exercice physique modéré chaque semaine. Cela concerne également les personnes âgées, même si celles-ci peuvent avoir plus de difficulté à l’appliquer. 

Tesla a élargi sa gamme vers le grand public avec le Model 3, trouvant un écho favorable sur le vieux continent. En conséquence, les livraisons de la compacte électrique sur le marché européen décollent depuis son arrivée en février 2019.

Tesla : recadrage réussi avec la Model 3

Connu avec le haut de gamme S, Tesla est réputé comme pionnier de l’électromobilité totale avec une touche de luxe. Pour ne pas demeurer sur une niche, le constructeur californien premium a enrichi son offre en visant davantage le grand public avec la Model 3. Le pari semble réussi, avec 27 092 immatriculations de janvier à avril dans l’UE. En comparaison, sur l’ensemble de l’année 2018, 29 000 de ces autos furent mises en circulation.

Livraisons boostées par la compacte électrique sur le marché européen

Avec un score pour la Model 3 qui place Tesla parmi les meilleures ventes, les projections sur les 8 mois restants de 2019 sont très favorables. Il pourrait y avoir entre 60 000 et 70 000 livraisons sur l’ensemble de l’année sur le marché européen. Par rapport à la même période en 2018, la marque californienne avait écoulé 7 572 automobiles en Europe. Avec l’arrivée de la compacte électrique. Les commercialisations ont donc plus que triplé.

Les électriques américaines bien positionnées dans l’UE

Les performances de Tesla avec la Model 3 en termes de volumes commerciaux placent la société d’Elon Musk au niveau de Jaguar, légèrement devant avec 27 973 unités. La marque française premium DS arrive loin derrière, avec seulement 13 195 autos immatriculées au premier trimestre. Lexus, la division luxe de Toyota fait légèrement mieux (17 198).

Model 3 : la discrétion avant tout pour Tesla

L’étude comparative des commercialisations est uniquement trimestrielle, car Tesla ne communique pas les chiffres mensuels. De plus, l’Association des constructeurs européens d’automobiles (ACEA) ne publie les rapports que des entreprises du vieux continent.

L’implémentation de la trottinette électrique va dans le sens de la transition énergétique à Paris et la lutte contre la pollution. Devant le succès galopant de cet accessoire de mobilité, les pouvoirs publics ont conclu une charte de bonne conduite pour la circulation et le stationnement avec les opérateurs.

La trottinette électrique, une espèce invasive à Paris ?

La trottinette électrique connait un succès incontestable auprès du public, au point que Paris connait actuellement une situation de quasi-saturation. En tout, près de 15 000 unités sont en service dans la capitale, au même titre que les automobiles, poids lourds et transports en commun. La prolifération des trottinettes a incité le gouvernement à agir et à légiférer face à ce qui est considéré comme un casse-tête.

Circulation et stationnement, le choix d’une charte de bonne conduite

La ville de Paris a décidé d’une charte de bonne conduite pour la trottinette électrique afin de construire de bonnes relations avec les 10 opérateurs de la municipalité. Les points de cet accord concernent la circulation et le stationnement des véhicules électriques. Le Conseil de la capitale s’est engagé à fournir 2 500 places dédiées et répertoriées, avec obligation de les respecter sous peine d’amende de 135 €.

Recyclage de  trottinettes et respect de l’environnement

Les loueurs et les professionnels de la trottinette électrique se sont engagés avec Paris dans une démarche durable et responsable. Celle-ci concerne des points essentiels de la lutte contre les émissions carbone, à savoir :

• une vigilance accrue par rapport au recyclage des appareils ;
• un approvisionnement en électricité verte au niveau des bornes de recharge ;
• le respect d’un code de déontologie entre employés et responsables d’exploitations.

Trottinette électrique : une harmonisation à Paris

La mairie de Paris veillera au bon déroulement de l’opération. Si les accords ne sont pas respectés, il faudra les suspendre. La future loi sur les mobilités prendra le relai, peut être au détriment de la trottinette électrique et de son exploitation.

La pratique du sport est bonne pour le sommeil. En plus des vertus de cette habitude qui permet de prendre soin de son corps, une activité sportive agit positivement sur la santé en aidant à mieux dormir. Il est grand temps de bouger !

Le sport influe sur l’éveil dont dépend le sommeil

Ce que l’on appelle la forme physique est souvent le fait d’un sport régulier. Cet état optimal du corps le rend plus alerte, ce qui implique une qualité d’éveil accrue. Le fait de bouger tout en ayant un planning améliore la qualité de vie et le bien-être. Un dynamisme maintenu une journée et couplé idéalement à une alimentation équilibrée améliore nettement le passage au repos.

Mieux dormir, indispensable pour la santé grâce à l’activité sportive

Les bienfaits du sommeil sont constatables à partir du moment où il y a des pratiques régulières d’activité sportive, même ponctuelle. Selon une étude publiée en 2016, la régularité dans l’effort est récompensée par les changements suivants :

• Une durée et une facilité d’endormissement accrues ;
• une réduction de la fréquence des éveils nocturnes ;
• un sommeil profond favorisé pour une meilleure récupération.

Une hygiène de vie perfectible pour les Français

Toujours d’après l’étude publiée en 2016, 54 % des particuliers de l’Hexagone pensent qu’ils ne dorment pas assez longtemps ou que ce n’est pas suffisamment réparateur. Faut-il corréler cette donnée avec le sport ? Certainement, car les bénéfices deviennent permanents avec des activités sportives régulières. Cela pourrait régler les troubles du sommeil qui touchent un tiers des Français.

Quel type de sport pour retrouver le sommeil ?

Le sport d’endurance est préconisé pour agir efficacement sur le sommeil. Le vélo, la marche, le yoga et la natation sont quelques exemples. La durée conseillée pour mieux dormir est de 30 minutes par jour idéalement, ou de 3 à 4 fois par semaine au minimum.

Source : sport-sante.fr

Les batteries sur une voiture électrique en fin de vie sont un déchet potentiel. Un recyclage est donc à prévoir. Le constructeur Honda planche sur une solution de valorisation durable. Est-il vraiment possible d’intégrer les accumulateurs au réseau d’électricité ?

L’engouement pour les batteries destinées à la voiture propre

Sans la capacité de stockage des batteries, il ne pourrait y avoir de voiture électrique.  Les modèles au lithium sont recherchés par les constructeurs. Avec une demande croissante, notamment sur le marché chinois, leur nombre augmente mécaniquement. Cependant, la nécessité d’obtenir la neutralité carbone implique de ne pas les jeter, mais plutôt de les recycler.

Le réseau d’électricité à l’origine d’un recyclage inédit par Honda

Le réseau d’électricité American Electric Power serait en mesure d’intégrer les batteries usagées des voitures. Le constructeur japonais est en phase de tests pour une utilisation massive de cette technologie afin de réduire l’impact sur la  signature carbonique de l’entreprise. Ce recyclage permettrait ainsi la régulation des ressources pour adapter la disponibilité aux besoins.

L’exemple des smartgrids pour la régulation de l’énergie

La fourniture énergétique aux réseaux leur permet de faire face à une demande parfois abrupte du parc automobile aux heures de pointe. Le retraitement des batteries agit comme un support potentiel, à l’image des smartgrids actuellement en développement et en test. La distribution connectée facilite le transfert d’information entre les fournisseurs d’énergie et les demandeurs (voiture, bâtiment, éclairage, etc.)

Batteries de voiture : d’autres solutions en cours d’exploration

Afin de ne pas jeter les batteries de voiture en fin de vie, des essais sont aussi réalisés par Nissan. Les accumulateurs usagés sont testés sur un prototype de van NV-300 modifié en atelier de travail du bois. Un camping-car devrait bientôt être intégré aux tests. Les efforts combinés des acteurs de l’industrie pourraient accroître la valeur des autos électrifiées.

La valorisation énergétique des batteries de voitures électriques est un sujet de plus en plus important dans le monde de l’énergie durable. Lorsque les batteries de voitures électriques arrivent en fin de vie, elles ont encore une grande quantité d’énergie stockée à l’intérieur. Au lieu de les jeter, il est possible de les réutiliser pour stocker de l’énergie dans les réseaux électriques ou pour alimenter des systèmes de gestion de l’énergie dans les bâtiments et les villes. Cette utilisation secondaire des batteries permet de prolonger leur durée de vie utile et de réduire les coûts de gestion de l’énergie. De plus, elle contribue à la transition vers une économie plus durable en réutilisant les ressources déjà existantes au lieu de produire de nouvelles batteries.

Le vélo tout terrain (VTT) rencontre un certain succès, surtout en montagne pour la randonnée. Il est essentiel de choisir son équipement de sport avec soin pour des raisons de sécurité. Le réflexe de l’entretien du matériel est tout aussi indispensable.

Le VTT de montagne, une activité sportive de descente

À l’instar du ski, le VTT permet de dévaler des pistes de montagne. La différence est que cette activité se pratique généralement sans neige, en été par exemple. Comme tous les sports de glisse, il présente un risque non négligeable pour la santé en cas de chute, et doit s’accompagner de la considération des autres usagers. En ce sens, le ministère de tutelle dirige une campagne de prévention et de sensibilisation.

Sport et sécurité, le choix de l’équipement adapté

La montagne n’est pas sans danger, quelle que soit la saison. Le VTT, comme tout sport impliquant des vitesses élevées nécessite une certaine préparation. La descente et l’enduro, comparable à ce qui existe en moto, font partie des activités qui ont besoin d’un encadrement par des moniteurs ou des spécialistes. L’équipement de sécurité tel que le casque et les protections des articulations est indispensable.

Le respect des montagnes et de son écosystème

Au-delà de l’aspect sportif ou sécuritaire, les randonnées ou descentes en VTT doivent se faire dans le respect de la montagne et des autres usagers. Il est conseillé d’adapter la vitesse au voisinage direct, que ce soit des randonneurs à pied, des troupeaux ou des chiens de protection. Une bonne attitude est incontournable, surtout vis-à-vis du travail des secours en évitant les chemins non balisés.

Écologie mécanique avec le VTT électrique de montagne

Nouveauté technique, le VTT à assistance électrique (VTTAE) rencontre un écho grandissant auprès du public. La motricité est facilitée lors de parcours physiquement difficiles à l’exemple de la montagne. Cependant, le VTTAE est plus lourd que le modèle classique et plus difficilement transportable.

Source : preventionete.sports.gouv.fr

Coup de théâtre dans l’automobile ? Mercedes annonce l’abandon prochain des moteurs à énergie fossile qui ont fait son succès en termes de noblesse mécanique. L’objectif est d’atteindre en 20 ans la neutralité carbone de l’ensemble du parc neuf.

Mercedes a déjà amorcé le virage vers l’automobile électrique

La marque automobile Mercedes fondée il y a plus d’un siècle a bâti sa réputation sur le luxe, le confort de ses voitures et leurs motorisations. De nombreux blocs essence et diesel avec 4,6, 8 et 12 cylindres ont équipé des véhicules haut de gamme depuis des années. Récemment, le constructeur bavarois s’est engagé dans la technologie électrique, intégrant davantage de modèles hybrides et rechargeables.

Neutralité carbone, retrait du marché des moteurs à énergie fossile

Daimler, propriétaire de Mercedes-Benz, a annoncé en mai 2019 son objectif d’une offre automobile commerciale respectant la neutralité carbone dans un horizon de 20 ans. Cela nous renvoie en 2039 avec l’abandon définitif des moteurs conventionnels à énergie fossile. Toujours d’après le porte-parole du groupe, les voitures hybrides rechargeables fonctionnant aux carburants synthétiques ne produiront pas d’émissions de CO2.

Modèles automobiles électrifiés : 50 % en 2030

Avant de renouveler totalement la gamme, Mercedes prévoit d’atteindre 50 % en matière d’électromobilité d’ici 2030. Il faudra pour cela modifier les chaînes de montage automobile et les plateformes techniques pour les rendre écoresponsables avec une signature CO2 neutre. Selon M. Källenius de Daimler, les rénovations des usines d’assemblage seront achevées en 2022.

D’autres acteurs de l’automobile opèrent les mêmes changements que Mercedes

L’industrie de l’automobile en Europe et dans le monde semble se mobiliser autour de la mobilité durable et de la transition énergétique. Volkswagen s’engage dans le respect de l’environnement en électrifiant sa flotte. L’investissement prévu jusqu’en 2023 se montre à 30 milliards d’€. Le zéro émissions sera atteint en 2050.

Le constructeur automobile Toyota vient de signer avec Panasonic une coentreprise. L’objectif de cette synergie est de concevoir des habitations d’avenir. La technologie au service de la mobilité permettra de concevoir les habitations au sein de villes connectées.

Toyota déjà associée à Panasonic pour les batteries automobiles

Le groupe Toyota fait partie des leaders de l’industrie automobile. La marque fait figure de pionnier en matière d’écoresponsabilité depuis le lancement il y a plus de 20 ans de la Prius. La berline compacte était la première hybride de série, ouvrant la voie de l’électromobilité. Panasonic a conclu avec le groupe japonais un accord pour la fabrication industrielle de batteries. L’entité responsable du projet verra officiellement le jour avant la fin 2020.

Habitations et villes connectées, une coentreprise inédite

Le partenariat avec Panasonic est réalisé dans l’esprit de fusion de l’immobilier avec la voiture, qui devient une extension du logement. De son côté, Toyota a pour objectif d’améliorer l’expérience utilisateur de ses clients. Les villes connectées constituent le futur tissu de la communication entre objets, véhicules et bâtiments. La conduite autonome et les smartgrids seront au cœur des aménagements.

Mouvements de capitaux et de pouvoirs décisionnels des deux industriels

Les groupes possèdent déjà dans leurs girons respectifs des sociétés immobilières, à l’exemple de Toyota Housing et Panasonic Construction Engineering. Ces entités contribueront à la naissance de la filiale Prime Life Technologies Corporation en janvier 2020. La construction de logements sera la principale activité de cette société qui sera armée pour faire face à la concurrence au Japon.

Panasonic et Toyota : l’union de deux savoir-faire

Dans leurs domaines respectifs, Panasonic et Toyota sont considérés comme des leaders. La coentreprise n’est pas nouvelle et a déjà permis de combiner les expertises dans la mobilité et les technologies numériques. Celles-ci constituent le creuser de l’urbanisme de l’avenir, entre conduite autonome et hyperconnectivité.