Apr\u00e8s avoir men\u00e9 une \u00e9tude sur les enfants, la Caisse d\u2019Epargne\/Association e-Enfance\/3018 s\u2019est pench\u00e9e sur le cas des jeunes adultes, filles et gar\u00e7ons. L\u2019objectif est de d\u00e9terminer l\u2019exposition de ces derniers \u00e0 la violence num\u00e9rique<\/a> qui constitue un grave danger pour la population jeune en France. Une \u00e9tude men\u00e9e par l\u2019Institut Audirep a cependant r\u00e9v\u00e9l\u00e9 des chiffres alarmants sur le cyberharc\u00e8lement<\/strong> depuis la crise sanitaire. Il s\u2019av\u00e8re que les victimes de violence en ligne, entre 18 et 25 ans, sont trois fois plus nombreuses que les adolescents, soit 60% contre 20%.<\/p>\n\n\n\n Justin Atlan, directeur g\u00e9n\u00e9ral de l\u2019association e-Enfance\/3018, a pr\u00e9cis\u00e9 que les chiffres des victimes de cyberharc\u00e8lement et de violences num\u00e9riques <\/strong>n\u2019ont pas chang\u00e9 depuis le premier confinement de mars 2020. En effet, 90 % des jeunes interrog\u00e9s estiment qu\u2019ils passent plus de temps sur Internet, notamment sur les r\u00e9seaux sociaux depuis la crise sanitaire et la p\u00e9riode de confinement. La crise mondiale a, de plus, augment\u00e9 les violences faites sur les jeunes internautes. 70 % d\u2019entre eux ont d\u00e9clar\u00e9 avoir \u00e9t\u00e9 plus expos\u00e9s qu\u2019avant aux risques li\u00e9s \u00e0 Internet<\/a> et aux r\u00e9seaux sociaux pendant cette p\u00e9riode.<\/p>\n\n\n\nLe nombre des victimes de violences num\u00e9riques n\u2019a pas chang\u00e9 depuis la crise sanitaire<\/h3>\n\n\n\n