<\/p>\n\n\n\n
<\/p>\n\n\n\n
La quantit\u00e9 de d\u00e9chets plastiques qui joncheraient les fondations des oc\u00e9ans<\/a> s\u2019\u00e9l\u00e8ve \u00e0 14 millions de tonnes. Cette information a \u00e9t\u00e9 r\u00e9v\u00e9l\u00e9e par une r\u00e9cente \u00e9tude de l\u2019agence scientifique du gouvernement australien. C\u2019est face \u00e0 ce constat que Parley for the Oceans a organis\u00e9 des expositions<\/strong> d\u2019art. D\u2019apr\u00e8s Cyrill Gutsch, la communaut\u00e9 artistique a tous les moyens pour insuffler du changement. \u00ab\u00a0\u00c9tant donn\u00e9 l\u2019\u00e9tat fragile dans lequel le monde se trouve actuellement, nous avons urgemment besoin de changements\u00a0\u00bb a-t-il ajout\u00e9.<\/p>\n\n\n\n Le fondateur de Vortic a expliqu\u00e9 que l\u2019une des raisons qui l\u2019ont pouss\u00e9 \u00e0 d\u00e9velopper la plateforme<\/em> est de voir comment les \u00e9tablissements pourraient \u00ab\u00a0r\u00e9duire leur impact environnemental\u00a0\u00bb. L\u2019objectif de l\u2019application<\/a> est aussi d\u2019\u00a0\u00ab\u00a0utiliser la sph\u00e8re num\u00e9rique pour les y aider\u00a0\u00bb \u00e0 travers l\u2019art<\/strong> moderne, selon Oliver Miro.<\/p>\n\n\n\nUn partenariat avec l\u2019application Vortic<\/h3>\n\n\n\n