<\/p>\n\n\n\n
<\/p>\n\n\n\n
<\/p>\n\n\n\n
<\/p>\n\n\n\n
<\/p>\n\n\n\n
<\/p>\n\n\n\n
Face aux enjeux plan\u00e9taires que repr\u00e9sente la pollution<\/strong> plastique, de nombreuses associations se sont engag\u00e9es \u00e0 nettoyer les oc\u00e9ans. S\u2019il s\u2019agit d\u2019une noble cause, il n\u2019est malheureusement pas possible de d\u00e9barrasser les cours d\u2019eau de tous les plastiques<\/span>. En effet, les experts expliquent que seulement 1% des d\u00e9chets flottent \u00e0 la surface des oc\u00e9ans, et le reste s\u2019enfouit en profondeur. Ils se transforment en microplastique<\/a> en se d\u00e9sagr\u00e9geant.<\/p>\n\n\n\n Plusieurs consid\u00e8rent le bioplastique comme une solution pour contrer la pollution plastique<\/strong>. Cependant, la v\u00e9rit\u00e9 semble \u00eatre plus compliqu\u00e9e que ce que l\u2019on pense. Les plastiques<\/a> biosourc\u00e9s contiennent en effet du p\u00e9trole (jusqu\u2019\u00e0 75 % de leur composition et seule 25 % de biomasse). Ceux qui sont biod\u00e9gradables<\/em>, eux, sont d\u00e9compos\u00e9s par les micro-organismes, mais l\u2019on en trouve seulement dans les milieux de compostage industriel.<\/p>\n\n\n\nLe bioplastique, une fausse bonne id\u00e9e\u00a0?<\/h3>\n\n\n\n