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Comme d\u2019autres applications, Facebook<\/strong> Workplace est aussi en proie \u00e0 une mise au point acc\u00e9l\u00e9r\u00e9e \u00e0 cause de la pand\u00e9mie. La demande pour ce r\u00e9seau social a cr\u00fb de mani\u00e8re spectaculaire pour ce logiciel, atteignant les 5 millions d\u2019utilisateurs en mars 2020. Le t\u00e9l\u00e9travail a en effet propuls\u00e9 certaines interfaces comme Workplace, mais aussi ses concurrents propos\u00e9s par Slack, Microsoft<\/a>, ou encore Salesforce. Gr\u00e2ce \u00e0 elles, les employ\u00e9s peuvent communiquer, travailler sur un projet commun, faire des conf\u00e9rences t\u00e9l\u00e9phoniques ou utiliser la messagerie<\/span> instantan\u00e9e.<\/p>\n\n\n\n Avec le succ\u00e8s de la plateforme de visioconf\u00e9rence Zoom<\/em>, d\u2019autres entreprises, dont Facebook, ont d\u00e9cid\u00e9 de cr\u00e9er leurs propres alternatives. Celle de la filiale de Google<\/a> se nomme Messenger Rooms, et est d\u00e9sormais accessible \u00e0 tous. En juin, elle sera donc int\u00e9gr\u00e9e \u00e0 Workplace<\/strong>, et pourra \u00eatre utilis\u00e9e pour des groupes plus grands que les appels vid\u00e9o, mais plus limit\u00e9s que les live.<\/p>\n\n\n\nInt\u00e9gration de Messenger Rooms au r\u00e9seau social pour employ\u00e9s<\/h3>\n\n\n\n