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En 2018, plus de 2 millions\u00a0de\u00a0nouveaux cas de\u00a0cancer du sein<\/strong>\u00a0ont \u00e9t\u00e9 d\u00e9tect\u00e9s. Selon les m\u00e9decins, la pr\u00e9sence de m\u00e9tastases \u00e0 distance de la\u00a0tumeur<\/a>\u00a0d\u2019origine est un signe de l\u2019agressivit\u00e9 de la maladie. Quand des m\u00e9tastases sont d\u00e9cel\u00e9es, le taux de survie \u00e0 5 ans du diagnostic est de\u00a026 %\u00a0seulement, contre 99 % si la\u00a0grosseur canc\u00e9reuse<\/span> concerne seulement le sein et de 85 % si seulement les ganglions lymphatiques sont aussi atteints.<\/p>\n\n\n\n D\u2019apr\u00e8s des recherches dirig\u00e9es par Xavier Coumoul, une exposition \u00e0 des substances polluantes organiques persistantes ou POPs (des polluants environnementaux\u00a0perturbateurs endocriniens<\/span>\u00a0et\/canc\u00e9rig\u00e8nes que le corps ne peut exp\u00e9dier), favoriserait le\u00a0cancer<\/a>\u00a0du sein. Afin de d\u00e9terminer le r\u00f4le des\u00a0POPs<\/em>\u00a0sur le niveau d\u2019agressivit\u00e9 de la tumeur maligne, les chercheurs se sont int\u00e9ress\u00e9s \u00e0 49 substances polluantes, dont la dioxine et\u00a0les\u00a0PCB (pour polychlorobiph\u00e9nyles \u2013 \u00e9mis par plusieurs processus industriels).\u00a0<\/p>\n\n\n\nLes PCB et la dioxine particuli\u00e8rement toxiques\u00a0<\/h3>\n\n\n\n