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Cette \u00e9tude parue dans le journal Hypertension a pass\u00e9 en revue 775 enfants depuis leur naissance jusqu\u2019\u00e0 l\u2019\u00e2ge de 18 ans. Les chercheurs ont d\u00e9fini les taux de\u00a0vitamine D<\/strong> \u00e0 moins 11ng\/ml (nanogrammes par millim\u00e8tres) dans le sang du cordon ombilical \u00e0 la naissance des b\u00e9b\u00e9s et plus bas que 25ng\/ml dans le sang de l\u2019enfant lors de la petite enfance. Par la suite, les experts de la\u00a0m\u00e9decine<\/a> ont compar\u00e9 les r\u00e9sultats obtenus avec des informations concernant des enfants n\u2019ayant pas de\u00a0carence<\/span> de vitamine D. Un lien avec l\u2019hypertension a alors \u00e9t\u00e9 fait.<\/p>\n\n\n\n Lors de leurs recherches sur l\u2019hypertension<\/strong>, les scientifiques am\u00e9ricains ont constat\u00e9 que les enfants qui avaient des niveaux inf\u00e9rieurs de\u00a0vitamine D<\/a> \u00e0 la naissance avaient 60 % plus de risque d\u2019avoir une pression systolique \u00e9lev\u00e9e entre 6 et 18 ans.\u00a0\u00a0\u00c0 noter que la pression systolique repr\u00e9sente le seuil maximal de la\u00a0tension art\u00e9rielle<\/em>, soit la valeur de la pression sanguine pendant la contraction cardiaque. Pass\u00e9 ce niveau, on parle alors d\u2019hypertension.\u00a0<\/p>\n\n\n\n Par ailleurs, cette \u00e9tude indique que les jeunes dont les faibles taux sanguins de vitamine D persistaient au cours de l\u2019enfance et de l\u2019adolescence avaient deux fois plus de chance d\u2019avoir une\u00a0pression systolique<\/span> \u00e9lev\u00e9e. Ils ont ainsi un risque accru de d\u00e9velopper l\u2019hypertension plus tard.<\/p>\n\n\n\nUne carence associ\u00e9e \u00e0 une pression systolique sup\u00e9rieure \u00e0 l\u2019adolescence\u00a0<\/h3>\n\n\n\n