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Le sommet mondial<\/strong> de\nParis a \u00e9t\u00e9 l\u2019occasion pour les minist\u00e8res de la Sant\u00e9 du G7 de coordonner\nleurs efforts pour se mettre au chevet des habitants de la plan\u00e8te. La\nsignature d\u2019une charte a ratifi\u00e9 un plan d\u2019action<\/em> contre\nles in\u00e9galit\u00e9s dans le monde dans le domaine\nm\u00e9dical<\/a>. \u00c0 cet effet, une plateforme num\u00e9rique cr\u00e9\u00e9e par 5\norganisations internationales sera mise en service pour le partage des\nconnaissances.<\/p>\n\n\n\n Probl\u00e8mes de sant\u00e9<\/strong> publique \u00e9voqu\u00e9s lors du sommet mondial, les pand\u00e9mies telles que le SIDA<\/a>, le paludisme ou la tuberculose n\u00e9cessitent des fonds pour les combattre. Le minist\u00e8re fran\u00e7ais estime leur impact \u00e0 2,7 millions de d\u00e9c\u00e8s par an, souvent par manque d\u2019expertise m\u00e9dicale et d\u2019acc\u00e8s aux soins<\/u>. Avec 4,5 milliards d\u2019\u20ac depuis 2002, la France est un des premiers contributeurs au Fonds international consacr\u00e9 \u00e0 ces pand\u00e9mies. \u00a0<\/p>\n\n\n\nExpertise m\u00e9dicale, meilleur acc\u00e8s aux soins\net recul des pand\u00e9mies<\/h3>\n\n\n\n