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Les \u00e9tudes en sant\u00e9 humaine<\/a> sur cette condition ont \u00e9t\u00e9 nombreuses en France. Quelques exemples sont l\u2019hyperprolactin\u00e9mie qui a fait l\u2019objet d\u2019une recherche<\/strong> permettant de proposer un possible traitement via l\u2019administration de kisspeptine. Des travaux ont aussi permis l\u2019isolation de g\u00e8nes impliqu\u00e9s dans l\u2019insuffisance ovarienne primaire<\/u>. L\u2019intelligence artificielle a \u00e9galement \u00e9t\u00e9 mise \u00e0 profit pour mesurer l\u2019impact de l\u2019environnement sur les ovaires.<\/p>\n\n\n\n Alors qu\u2019un couple sur 8 sollicite les professionnels de sant\u00e9<\/u> pour des probl\u00e8mes \u00e0 procr\u00e9er, la cause de 10 % des cas reste inexpliqu\u00e9e. Les chercheurs d\u00e9plorent que les solutions propos\u00e9es soient principalement palliatives. Les facteurs environnementaux<\/a> comme la pollution qui pourrait causer l\u2019infertilit\u00e9<\/strong> n\u2019ont fait l\u2019objet d\u2019aucune recherche. Il en va de m\u00eame pour la pr\u00e9vention. Les campagnes d\u2019information manquent \u00e0 l\u2019appel.<\/p>\n\n\n\nInfertilit\u00e9s, les recherches n\u2019expliquent pas tous les cas<\/h2>\n\n\n\n