Les batteries solides sont considérées comme l’avenir de l’alimentation des véhicules électriques, car elles ont de nombreux avantages en comparaison avec le lithium-ion. Elles suscitent des milliards d’euros d’investissements pour assurer une production industrielle avant la fin de la décennie.
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Les avantages des batteries solides attirent les investissements
Considérées comme étant plus performantes, plus sécuritaires et moins polluantes que le lithium-ion, les batteries solides sont une autre solution pour alimenter la voiture électrique. Cet intérêt grandissant a entraîné des milliards d’euros d’investissements dans le but de garantir la production industrielle de ce type de batterie d’ici la fin de cette décennie. Pour le moment, seule la technologie en laboratoire permet de la produire. En France, une usine dédiée à cette technologie est en cours de développement, tandis que l’entreprise taïwanaise ProLogium envisage un investissement de 5,2 milliards d’euros d’ici à 2030 afin de monter une usine à Dunkerque. De son côté, Volkswagen investit en passant par l’entreprise Quantum Space.
Une empreinte carbone réduite, mais quelques risques subsistent
Ce type de batterie pour véhicules électriques est aussi apprécié pour ses avantages environnementaux. Il s’avère effectivement que la batterie à électrolyte solide apporterait une réduction comprise entre 24 et 39% de l’empreinte carbone comparée au lithium-ion. Cependant, les seuls retours d’expérience existants sur les avantages de ces dispositifs émanent pour l’instant uniquement de l’entreprise Blue Solutions, qui est la seule à les commercialiser dans le monde. En avril 2022, deux bus équipés avec ses produits ont pris feu. Toutefois, il semblerait que l’incendie ait été causé par un mauvais positionnement d’isolant et non pas par un problème de conception. De plus, la batterie Blue Solutions nécessite aussi un préchauffage à 60° pour fonctionner.
Les obstacles à la fabrication en masse de ce produit
Si les constructeurs envisagent une production industrielle de ce type de batterie, des obstacles limitent cette ambition. L’un des plus importants est la maîtrise de la pression lors de l’assemblage et de l’interface avec l’électrolyte solide. Les fabricants éprouvent encore des difficultés à faire passer le courant électrique via un matériau solide sans avoir à administrer une pression importante pendant la construction. Il est difficile de maîtriser cette pression à grande échelle. Ainsi, pour le moment, une fabrication en masse ne serait possible que d’ici 2035, selon les estimations. Dans ce cadre, ce type de batterie cohabitera, plus qu’il ne remplacera le lithium-ion à l’avenir.
Comment fonctionne cette technologie ?
La batterie à état solide est une avancée technologique prometteuse dans le domaine des véhicules électriques, notamment grâce au fait qu’elle a une empreinte carbone moins élevée que le lithium-ion. Elle utilise un électrolyte solide, généralement composé de polymères conducteurs d’ions ou de céramiques. L’électrolyte solide permet une densité d’énergie plus élevée, ce qui se traduit par une plus grande autonomie pour les voitures. Elles sont moins susceptibles de surchauffer et de s’enflammer, offrant ainsi une meilleure sécurité. Enfin, ces solutions justifient également d’une durée de vie plus longue et d’une meilleure capacité de recharge rapide.
Les défis environnementaux pour les constructeurs
Malgré ses avantages, les fabricants de batterie solide sont confrontés à plusieurs défis environnementaux, en particulier en ce qui concerne l’extraction des métaux nécessaires à sa fabrication. L’un des principaux métaux utilisés est le lithium lui-même, dont l’extraction peut avoir un impact environnemental significatif. Effectivement, la consommation d’eau et l’utilisation de produits chimiques dans les processus d’extraction affectent la nature. Pour relever ces défis, les fabricants doivent s’engager à mettre en place des chaînes d’approvisionnement responsables, à favoriser la recyclabilité des produits en fin de vie et à encourager la recherche de matériaux alternatifs et plus durables.
Avec ETX/DailyUp
]]>Les batteries solides sont considérées comme l’avenir de l’alimentation des véhicules électriques, car elles ont de nombreux avantages en comparaison avec le lithium-ion. Elles suscitent des milliards d’euros d’investissements pour assurer une production industrielle avant la fin de la décennie.
Les avantages des batteries solides attirent les investissements
Considérées comme étant plus performantes, plus sécuritaires et moins polluantes que le lithium-ion, les batteries solides sont une autre solution pour alimenter la voiture électrique. Cet intérêt grandissant a entraîné des milliards d’euros d’investissements dans le but de garantir la production industrielle de ce type de batterie d’ici la fin de cette décennie. Pour le moment, seule la technologie en laboratoire permet de la produire. En France, une usine dédiée à cette technologie est en cours de développement, tandis que l’entreprise taïwanaise ProLogium envisage un investissement de 5,2 milliards d’euros d’ici à 2030 afin de monter une usine à Dunkerque. De son côté, Volkswagen investit en passant par l’entreprise Quantum Space.
Une empreinte carbone réduite, mais quelques risques subsistent
Ce type de batterie pour véhicules électriques est aussi apprécié pour ses avantages environnementaux. Il s’avère effectivement que la batterie à électrolyte solide apporterait une réduction comprise entre 24 et 39% de l’empreinte carbone comparée au lithium-ion. Cependant, les seuls retours d’expérience existants sur les avantages de ces dispositifs émanent pour l’instant uniquement de l’entreprise Blue Solutions, qui est la seule à les commercialiser dans le monde. En avril 2022, deux bus équipés avec ses produits ont pris feu. Toutefois, il semblerait que l’incendie ait été causé par un mauvais positionnement d’isolant et non pas par un problème de conception. De plus, la batterie Blue Solutions nécessite aussi un préchauffage à 60° pour fonctionner.
Les obstacles à une fabrication en masse
Si les constructeurs envisagent une production industrielle de ce type de batterie, des obstacles limitent cette ambition. L’un des plus importants est la maîtrise de la pression lors de l’assemblage et de l’interface avec l’électrolyte solide. Les fabricants éprouvent encore des difficultés à faire passer le courant électrique via un matériau solide sans avoir à administrer une pression importante pendant la construction. Il est difficile de maîtriser cette pression à grande échelle. Ainsi, pour le moment, une fabrication en masse ne serait possible que d’ici 2035, selon les estimations. Dans ce cadre, ce type de batterie cohabitera, plus qu’il ne remplacera le lithium-ion à l’avenir.
Comment fonctionne cette technologie ?
La batterie à état solide est une avancée technologique prometteuse dans le domaine des véhicules électriques, notamment grâce au fait qu’elle a une empreinte carbone moins élevée que le lithium-ion. Elle utilise un électrolyte solide, généralement composé de polymères conducteurs d’ions ou de céramiques.
L’électrolyte solide permet une densité d’énergie plus élevée, ce qui se traduit par une plus grande autonomie pour les voitures. Elles sont moins susceptibles de surchauffer et de s’enflammer, offrant ainsi une meilleure sécurité. Enfin, ces solutions justifient également d’une durée de vie plus longue et d’une meilleure capacité de recharge rapide.
Les défis environnementaux pour les constructeurs
Malgré ses avantages, les fabricants de batterie solide sont confrontés à plusieurs défis environnementaux, en particulier en ce qui concerne l’extraction des métaux nécessaires à sa fabrication. L’un des principaux métaux utilisés est le lithium lui-même, dont l’extraction peut avoir un impact environnemental significatif. Effectivement, la consommation d’eau et l’utilisation de produits chimiques dans les processus d’extraction affectent la nature. Pour relever ces défis, les fabricants doivent s’engager à mettre en place des chaînes d’approvisionnement responsables, à favoriser la recyclabilité des produits en fin de vie et à encourager la recherche de matériaux alternatifs et plus durables.
Avec ETX/DailyUp
]]>La journée de la batterie de Tesla est l’occasion de revenir sur les batteries qui équipent les véhicules électriques, et leurs enjeux en matière de protection de l’environnement.
Véhicules électriques : le marché des batteries est dominé par l’Asie
Le marché des batteries est dominé par le continent asiatique. Les plus grands fabricants mondiaux sont chinois, coréens et japonais, selon le cabinet BCG. À titre de comparaison, l’Europe représente seulement 1 % de la production mondiale. C’est la Chine, qui totalise 50 % des ventes de véhicules électriques dans le monde, qui règne sur ce marché.
Le lithium-ion, principal composant de la batterie
Désormais, les batteries rechargeables des véhicules électriques fonctionnent avec les cellules lithium-ion. Sur l’électrode positive de la batterie, on retrouve le lithium, le cobalt et l’oxygène, tandis que l’électrode négative contient du graphite. Au milieu des deux, il y a un liquide où le lithium circule. Les véhicules électriques sont notamment prisés parce qu’ils ne relâchent pas de gaz à effet de serre.
Le lithium-ion est le principal composant de la pile électrique © kynny / IStock.com
Les batteries affectent-elles l’environnement ?
Même si les véhicules électriques sont favorisés à cause de leur aspect non polluant, les batteries qui les équipent sont pointées du doigt en raison de leur impact sociétal et environnemental. Sabine Gagnier, chargée de plaidoyer à Amnesty International, explique que « l’extraction du cobalt pose problème en termes de violation des droits humains ». De même, certains composants se retrouvent souvent dans l’environnement, raison pour laquelle les industriels tentent d’améliorer leur recyclage.
Une autonomie jugée insuffisante
D’autre part, les batteries des véhicules électriques sont souvent reprochées de manquer d’autonomie. Ce point constitue d’ailleurs l’un des majeurs freins à l’achat de ce type de voiture.
]]>Une enquête d’Enedis fait le point sur les méthodes préférées par les automobilistes pour recharger les véhicules électriques. Ceux qui détiennent une voiture électrique (100 % électrique ou hybride rechargeable) favorisent la recharge à domicile.
Voiture électrique : les Français en faveur de la recharge à domicile
Dans le cadre de ce sondage, 90 % des personnes indiquent qu’elles ont une préférence pour la recharge à domicile de leur voiture électrique, un taux qui tombe à 47 % pour ceux qui habitent en résidence. 58 % des automobilistes plébisciteraient une prise électrique classique déjà existante, ou sinon une nouvelle installation créée pour recharger les véhicules électriques.
Véhicules électriques : les bornes publiques pas vraiment utilisées
D’autre part, 70 % des répondants indiquent ne jamais ou presque jamais faire usage des bornes publiques, démontrant une nouvelle fois l’intérêt des sondés pour la recharge à domicile. Les 30 % qui utilisent ces stations privilégient les parkings de supermarchés pour alimenter leur voiture électrique.
Les modèles électriques sont plus écolos © serts / Istock.com
Recharge à domicile à quelle heure ?
D’après ce sondage, 42 % des automobilistes qui optent pour la recharge à domicile de leur voiture électrique ou hybride le font la nuit, entre minuit et 7h, afin d’éviter les pics de consommation. D’ailleurs, 60 % des personnes interrogées avouent ne pas connaître la puissance de recharge de leur propre automobile.
Quelle est la distance moyenne parcourue ?
Enfin, cette enquête révèle que les détenteurs d’une voiture électrique parcourent une distance moyenne de 43 km par jour avec leur véhicule. Il s’agit essentiellement des trajets entre le travail et leur habitation.
]]>Le fabricant chinois Aiways présente sa nouvelle batterie électrique, spécialement conçue pour être résistante aux chocs. Elle équipera le tout nouveau SUV de la marque, nommé U5.
Aiways marque son entrée en Europe avec une batterie électrique
Cette année, Aiways va à la conquête du marché européen. Le constructeur entend bien marquer l’événement en lançant une batterie électrique avec une structure en “sandwich”, qui a la capacité de limiter les risques d’incidents pouvant être occasionnés par ce genre d’équipement, surtout en cas de choc.
Une invention innovante pour le fabricant chinois
L’innovation de ce concept réside dans l’ajout d’une plaque d’isolation entre le module de batterie et la plaque de refroidissement. Les zones sèches désormais séparées des zones humides, le liquide de refroidissement ne peut plus s’incruster dans le module de batterie s’il y a une fuite, explique Aiways.
Voilà à quoi ressemble cette pile © Courtesy of Aiways
Le fabricant chinois Aiways a aussi innové côté gestion, avec un système pouvant surveiller l’état de charge de la pile grâce à des algorithmes très avancés. Il s’agit également d’un système disposant d’une capacité d’auto-apprentissage, ce qui signifie qu’il peut donner des détails sur les dépenses énergétiques de la pile en se basant sur les habitudes de conduite de l’utilisateur.
Un dispositif à découvrir dans le SUV U5
Ces nouvelles batteries seront installées dans le tout nouveau SUV U5 de la marque chinoise. À noter que ce véhicule tout électrique intégrera le marché européen à l’été 2020.
]]>L’Hexagone dispose désormais d’un plus grand nombre de points de recharge publics destinés aux véhicules électriques. C’est ce qui ressort de la dernière publication de l’Avere (Association nationale pour le développement de la mobilité électrique).
Points de recharge pour véhicules électriques : +15 %
Fin mars 2020, l’Hexagone comptait 29 578 points de recharge pour véhicules électriques, ce qui est une hausse de 15 % par rapport à la même période l’an dernier. Dans la pratique, cela représente environ un point de recharge pour 8 véhicules électriques.
Charge rapide, accélérée ou normale : les chiffres de l’Avere
D’après les récentes informations divulguées, 29 149 de ces points de recharge proposent une charge accélérée (entre 11 et 49 kW), mais une petite partie (1 780) propose aussi une charge rapide (supérieure ou équivalente à 50 kW). Quant aux 7 649 restants, ils fournissent une charge normale, c’est à dire moins de ou égale à 11 kW.
La quantité de points de recharge a augmenté sur le territoire français © spyderskidoo / IStock.comtric car in the city
L’Ile-de-France dispose de plus de bornes pour véhicules électriques
Du côté des endroits regroupant le plus grand nombre de points de recharge, c’est l’Ile-de-France qui se place en tête du classement. Cependant, la région parisienne est également l’endroit qui dispose du petit nombre de bornes rapides pour recharger les véhicules électriques.
Où peut-on recharger sa voiture ?
En outre, l’Avere indique que 47 % de ces bornes se situent à proximité de la voirie ou des sites publics. 33 % sont aménagés dans des parkings et 20 % dans des entreprises ou commerces.
]]>Le constructeur italien vient de dévoiler la nouvelle génération de la Fiat 500 à Milan. Cette citadine, nommée La Prima, est un modèle 100 % électrique et connecté.
Fiat 500 La Prima, une voiture toute en technologie
Premier cabriolet électrique à quatre places du marché, la Fiat 500 La Prima se démarque des autres modèles de par son aspect technologique supérieur. Elle embarque en effet tout un arsenal d’aides à la conduite et permet la conduite autonome de niveau 2. Elle se veut aussi plus spacieuse.
Le constructeur italien livre une citadine 100 % électrique
Sous le capot de cette Fiat 500, on retrouve un bloc 100 % électrique d’une puissance de 87 kW, soit l’équivalent de 118 chevaux. Grâce à cet engin, la citadine peut atteindre une vitesse de pointe de 150 km/h et passer de 0 à 100 km/h en 9 secondes. Niveau autonomie, le modèle La Prima peut parcourir jusqu’à 320 km entre deux recharges.
D’après le constructeur italien, il suffit de recharger la voiture via un chargeur rapide pendant 5 minutes pour qu’elle puisse parcourir 50 kilomètres. Sinon, la batterie se recharge à 80 % en seulement 35 minutes. La Fiat 500 La Prima propose aussi trois modes de conduite, Normal, Range et Sherpa.
L’infodivertissement à bord de votre voiture
Par ailleurs, la Fiat 500 La Prima dispose du système d’infodivertissement UConnect 5, grâce auquel les usagers peuvent profiter du contenu de leur téléphone. Ce logiciel leur permet aussi d’accéder à une variété de services connectés, dont la gestion du véhicule à distance.
]]>À la recherche d’une voiture 100 % électrique ? Volkswagen propose une nouvelle version de sa citadine e-Up, à un prix moins élevé et ayant une plus grande autonomie.
Une nouvelle batterie pour la Volkswagen e-Up
Si elle dispose du même bloc électrique que l’on retrouve sur le modèle précédent, la Volkswagen e-Up embarque une toute nouvelle batterie. Le constructeur allemand a en effet équipé son nouveau véhicule d’une batterie lithium-ion de 32,3 kWh, contre 18,7 kWh précédemment.
Plus d’autonomie pour la citadine
Grâce à la nouvelle batterie de la Volkswagen e-Up, la citadine peut désormais parcourir une plus longue distance entre deux recharges. La voiture 100 % électrique affiche en effet une autonomie de 260 km, contre 140 km pour le modèle précédent. Il est possible de recharger le véhicule en 18 h via le réseau domestique et en 50 minutes en passant par une station de recharge rapide.
Un prix plus bas pour cette automobile 100 % électrique
La Volkswagen e-Up sera proposée à un prix débutant à 23 440 euros, soit 3 360 euros de moins que son prédécesseur. Elle se place ainsi sur le marché des voitures électriques bon marché, aux côtés de la Seat Mii electric et de la ŠKODA CITIGOe iV.
Une auto à la pointe de la technologie
En termes de technologie, l’e-Up embarque de nouveaux systèmes de sécurité, à l’instar de la reconnaissance des panneaux de signalisation et l’assistance de maintien de trajectoire à plus de 65 km/h. Elle affiche aussi le nouveau logo de la marque.
]]>Volvo dévoile le premier venu de sa gamme Recharge ! Il s’agit de son SUV XC40, désormais décliné en 100 % électrique. Soulignons que ce modèle est le premier du constructeur suédois à être entièrement électrifié.
Le Volvo XC40 Recharge représente la vision de l’entreprise
C’est une nouvelle page qui s’écrit dans l’histoire de Volvo ! Le tout premier véhicule tout électrique est finalement là et préfigure la vision du fabricant en matière d’électromobilité. Désormais, le groupe qui appartient au Chinois Geely proposera une version Recharge pour l’ensemble de son catalogue, à commencer par le XC40.
À quoi s’attendre avec ce SUV 100 % électrique ?
En théorie, le nouveau XC40 offre une autonomie de plus de 400 km. Le SUV compact est équipé d’une batterie pouvant être rechargée à 80 % en seulement 40 minutes avec une borne de recharge rapide. En termes de puissance, le véhicule affiche 300 kW, soit l’équivalent de 408 chevaux.
Le Volvo XC40 Recharge est par ailleurs le premier modèle de la marque suédoise à profiter de la nouvelle plateforme de capteurs ADAS (Advanced Drivers Assistance Systems). Il s’agit tout bonnement d’un système de sécurité active modulable comprenant plusieurs radars, caméras et capteurs à ultrasons.
Un auto qui sera officialisée en 2020
Cette voiture 100 % électrique sera officialisée au premier trimestre 2020. Les tarifs seront annoncés au même moment. Il s’agit d’un premier pas vers l’électrification de toute la gamme du constructeur, dans un contexte où Geely ambitionne de faire monter la part de ses véhicules électriques vendus à 50 % d’ici 2025.
]]>Le Salon Automobile de Francfort a été marqué par l’absence de nombreux fabricants automobiles et une baisse d’intérêt de la part du public. Cette année, ce sont les véhicules électriques qui ont brillé sur les stands.
Le Salon Automobile de Francfort moins fréquenté que d’habitude
L’édition 2019 du Salon Automobile de Francfort a enregistré une chute de 30 % du taux de fréquentation. Plusieurs grands fabricants automobiles ont préféré s’abstenir de participer à ce grand rassemblement, à l’instar des Japonais Nissan et Toyota, mais aussi les Français Peugeot et Citroën, les Américains Fiat-Chrysler et General Motors, ainsi que les marques de luxe comme Maserati, Bentley, et Ferrari.
Les véhicules électriques étaient les stars des fabricants automobiles
Ceux qui étaient présents au Salon Automobile de Francfort ont pu constater que les stars étaient incontestablement les véhicules électriques, avec de nombreuses nouveautés présentées. La présence notable des modèles électrifiéstémoigne de la volonté des constructeurs à se tourner vers des solutions durables afin de limiter les émissions de CO2.
Le fabricant allemand Mercedes était présent avec l’EQS, une berline électrique qui préfigure un modèle de série attendu pour 2021. Sur le stand d’Audi au Salon automobile, l’on a pu découvrir l’AI : TRAIL Quattro, un véhicule électrique tout-terrain affichant un look futuriste. Cupra était aussi présent à Francfort avec le Tavascan, également un véhicule électrifié.
Une transformation du salon attendue pour les prochaines éditions
Avec la baisse de fréquentation, les organisateurs de cet événement automobile à Francfort envisagent d’offrir « plus de présence digitale » et « plus de formats interactifs et d’expériences » au public. Leur but est de proposer une « nouvelle mobilité aux citoyens de la ville ».
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