Buzz No Limit offre une expérience multimédia immersive où ses membres peuvent accéder à une variété de contenus audiovisuels en streaming. En plus de suivre l’actualité, la plateforme permet aussi de se divertir. En ce moment, vous retrouverez une vidéo sur l’impact du réchauffement climatique sur les femmes et les populations les plus défavorisées, une problématique abordée dans un rapport récent de la FAO.
Une vidéo d’actualité sur le climat sur Buzz No Limit
Le site Buzz No Limit se distingue par sa diversité de contenus audiovisuels tels que les vidéos en streaming. Des infos aux tutoriels de cuisine en passant par les documentaires, chacun peut y trouver son bonheur. Chaque nouvelle vidéo de la rubrique Actualité aborde un sujet différent comme vous pourrez le voir. Vous retrouverez cette semaine une vidéo rajoutée à son répertoire sur un rapport de L’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture.
Retrouvez les actualités liées au réchauffement climatique
Buzz No Limit aborde tous les sujets qui font la une de l’actualité dans les médias, indépendamment de leurs thématiques. Récemment, la plateforme a rajouté une vidéo sur l’impact du réchauffement climatique sur les femmes et les populations les plus défavorisées. Sachez que le site propose régulièrement l’actualité en vidéos sur ce phénomène important. Ces titres sensibilisent les spectateurs et les incitent à agir pour lutter contre le changement du climat.
L’engagement de Buzz No Limit pour apporter les news
Buzz No Limit s’engage à fournir à ses membres une actualité pertinente et diversifiée au quotidien lorsqu’il propose une vidéo. Ainsi, son catalogue est mis à jour en continu pour vous apporter des nouvelles sur l’environnement, la politique, le sport, le cinéma et tant d’autres. Grâce à Buzz No Limit, les internautes peuvent rester informés tout en profitant d’un accès à des divertissements audiovisuels de qualité.
Découvrez les contenus pour vous divertir
En résumé, Buzz No Limit offre davantage que de regarder une vidéo en streaming sur le réchauffement climatique. À travers les sections de la plateforme, vous pourrez suivre l’actualité, regarder des reportages en tout genre ou des films culte à tout moment.
]]>Under The Pole se consacre depuis quelques années à l’étude des forêts marines se trouvant dans la zone mésophotique. Habitué des missions dans les profondeurs, l’équipe va s’intéresser cette fois aux coraux se trouvant entre 30 et 200 m de la surface. Une mission qui vise avant tout la recherche de solution face au réchauffement climatique.
Under The Pole à la rencontre de la zone mésophotique
L’équipe d’Under The Pole effectue une série d’expéditions dans les profondeurs depuis plusieurs années maintenant. Travaillant avec des scientifiques, Emmanuelle et Ghislain Bardout, le couple fondateur d’Under The Pole, recueille les données dans les fonds marins depuis 15 ans maintenant. En 2021, l’équipe a entamé une nouvelle mission, sa quatrième pour être plus précis, en collaboration avec les Nations unies. Il s’agit de partir à l’exploration de la zone mésophotique des océans, c’est-à-dire la partie située entre 30 et 200 mètres de profondeur. Cet endroit est encore peu exploré par les chercheurs en raison de nombreuses contraintes techniques. Mais pour les Bardout, c’est maintenant faisable grâce à la capsule qu’ils ont inventée et qui permet de rester plusieurs jours sous l’eau.
Les forêts marines et les coraux passés à la loupe
Dans la zone mésophotique, Under The Pole fait face à des paysages de roches, de forêts animales et végétales, tout un environnement qui abrite des espèces encore inconnues. De plus, il y a beaucoup à découvrir dans le récif corallien mésophotique. Si les océans représentent 71 % de la surface de la planète, l’homme en sait très peu de cet environnement, environ 5 à 10 % seulement. Pour Under The Pole, les forêts marines forment des écosystèmes semblables aux forêts sur la terre ferme. Toutes les formes de vies autour sont interdépendantes et forment un ensemble.
Les explorations menées par Emmanuelle et Ghislain Bardout dans les profondeurs ont déjà permis de savoir que des forêts animales existent dans les zones polaires, que des invertébrés et des mollusques jusque-là inconnus vivent dans les océans. Le couple a également découvert que les coraux vivent parfaitement à plus de 172 mètres de profondeur, et non seulement à la surface de l’eau.
Une piste pour lutter contre le réchauffement climatique dans les profondeurs
Si les coraux et certaines espèces plongent vers les forêts marines, c’est en partie parce qu’ils fuient le réchauffement climatique qui affecte les récifs de surface. La zone mésophotique représente donc un refuge pour la biodiversité. Une nouvelle encourageante pour les espèces menacées par la crise climatique. Cela dit, on ignore combien de temps les coraux peuvent échapper aux effets du changement climatique. La pollution plastique et le passage des chaluts peuvent entraîner une dégradation rapide des récifs coralliens dans cette zone. D’ailleurs, quelques dégâts ont déjà été observés.
Under The Pole va poursuivre sa mission d’exploration jusqu’en 2030 pour mieux comprendre les forêts marines. Pour l’instant, l’équipe compte explorer les eaux tropicales de la Guadeloupe.
Avec ETX Daily UP
]]>Des mesures pour lutter contre le réchauffement climatique ne doivent pas être uniquement la responsabilité du gouvernement ou des entreprises. Certains écogestes sont à favoriser par tout un chacun pour combattre ce phénomène qui affecte la planète et l’environnement. Découvrez-les.
Comment lutter contre le réchauffement climatique ?
De nos jours, le réchauffement climatique est un terme familier, car ce dernier fait l’actualité sur l’écologie. Afin d’y remédier, il est recommandé de changer de mode de transport, puisque la consommation de carburant provoque 35 % des émissions de dioxyde de carbone (CO2). Pour être écologique, il suffit de privilégier le vélo ou la marche pour les petits trajets. Au cas contraire, les transports en commun sont de bonnes options.
Quelques écogestes permettent de combattre ce phénomène
Afin de contribuer à la protection de l’environnement et de la planète, l’un des écogestes est de réduire sa consommation d’eau. Cette dernière est responsable des émissions de gaz à effets de serre, car le traitement des eaux usées consomme beaucoup d’énergie. Pour y remédier afin de contribuer à la lutte contre le réchauffement climatique, il est conseillé de fermer les robinets entre deux utilisations. L’entretien des robinetteries ainsi que la réutilisation des eaux utilisées pour laver les fruits et les légumes pour l’arrosage sont aussi des solutions.
Actualité à écouter
En ce qui concerne les denrées alimentaires, les produits locaux et de saison sont à favoriser pour lutter contre le réchauffement climatique. De ce fait, cela réduit les émissions de CO2, car il n’y a pas lieu de faire un long trajet pour les obtenir. Il est important de savoir que le transport de marchandises a besoin de fioul et de kérosène. De plus, les produits qui contiennent peu d’emballage et dont le recyclage est possible sont à privilégier pour le respect de l’environnement et de la planète.
Réchauffement climatique : le tri des déchets est important
En plus de limiter la quantité d’ordures jetées à la poubelle, le tri des déchets est efficace pour favoriser le recyclage des cartons, des verres ou des papiers. Cela permet aussi d’utiliser les épluchures pour en faire du compost. Celui-ci est excellent pour remplacer les engrais chimiques dans le jardin.
Crédit Image : Tumisu de Pixabay
]]>Comment agir pour limiter le réchauffement climatique ? Voici quelques solutions qui peuvent aider à la protection de l’environnement, de la planète et de l’écologie.
La protection de l’océan prévient le réchauffement climatique
Pour lutter contre le réchauffement climatique, il est important de préserver les océans. Pour ce faire, chacun peut agir quotidiennement. Par exemple, utiliser des produits domestiques respectueux de l’environnement serait une façon d’éviter que des substances chimiques polluantes soient déversées dans la mer.
Produire de la viande nuit à l’environnement
Afin de combattre le réchauffement climatique, l’une des solutions serait de réduire sa consommation de viande. Sa production est néfaste pour la planète, car elle implique des processus comme la déforestation, l’utilisation d’engrais et la gestion des effluents d’élevage, ainsi que la production de méthane par les ruminants ; d’importantes sources d’émissions de gaz à effet de serre.
Pour être écoresponsable, adoptez le zéro-déchet !
Afin de limiter le réchauffement climatique pour le bien de la planète il est indispensable d’avoir une attitude écoresponsable. Il est considéré qu’un kilo de déchets cause l’émission de 1 kg de CO2. L’être humain produit presque 500 kilos d’ordures par an. Même si une partie est recyclée, nous continuons à abuser du plastique jetable. Une alternative durable serait l’utilisation d’objets réutilisables fabriqués à partir de matières écologiques.
Des énergies renouvelables contre le réchauffement climatique
L’installation d’un chauffe-eau ou de panneaux solaires, ainsi que d’une pompe à chaleur sont des moyens écologiques pour subvenir à nos besoins en énergies. Ils seront non seulement bénéfiques à notre budget, mais aussi à la Terre. Certaines municipalités et autorités provinciales donnent des conseils gratuits dans ce domaine.
]]>Réfléchissons à la façon dont nous pouvons aider à réduire le réchauffement climatique. Chacun de nous peut agir en changeant certaines habitudes quotidiennes pour préserver l’environnement et la Terre.
Économisez l’électricité pour le bien de l’environnement
Pour préserver l’environnement, vous devez agir avec des gestes simples. Pour cela, vous pouvez remplacer vos ampoules classiques par celles qui consomment moins d’électricité. Les lampes ‘’LED’’ sont considérées comme de bonnes solutions, car elles usent peu et durent plus longtemps. N’oubliez pas d’éteindre la lumière lorsque vous quittez une pièce. Ainsi, vous économisez de l’argent, mais vous agissez également pour la planète.
Le transport en commun est bénéfique pour la planète
C’est l’un des gestes simples à initier pour le bien de l’environnement, car le transport est responsable de la pollution atmosphérique, des émissions de CO2 (dioxyde de carbone) et de la consommation d’énergie qui sont une source de maux de la planète. Selon le ministère de la transition écologique et solidaire, en France, les transports représentent 27 % des émissions de gaz à effet de serre. Si les transports en commun ou un vélo ne peuvent pas remplacer la voiture, le covoiturage est conseillé.
Évitez les produits jetables
Dans le combat contre le réchauffement climatique, nous pouvons aussi diminuer nos déchets quotidiens. Il est alors très facile de modifier certaines de nos habitudes de consommation. Par exemple, munissez-vous des besaces polochons, du tissu ou d’autres sacs non jetables lorsque vous faites vos courses pour diminuer l’utilisation des sacs en plastique.
L’internet est néfaste pour la terre et l’environnement
Ce secteur représente 4 % des gaz à effet de serre. Pour atténuer notre empreinte environnementale, des gestes simples sont à effectuer. Réduisez les lectures de vidéos en ligne qui usent de l’énergie. Ensuite, nettoyez régulièrement votre boîte mail en préservant les essentiels. L’une des solutions pour protéger l’environnement est de naviguer en vous connectant au Wifi au 3 ou 4 G.
]]>Alors que le secteur de l’automobile dans son ensemble tente de faire la transition vers des automobiles plus respectueuses de l’environnement pour contrer le réchauffement climatique, les SUV font tache sur ce tableau. Avec leurs importantes émissions de CO2 et donc la pollution qu’ils engendrent, ils ne sont pas bénéfiques au climat.
Pollution : les SUV nuisent au climat
Le nombre de publicités mettant en avant les SUV, toujours plus robustes, toujours plus gros, encouragent de plus en plus les gens à se tourner vers ces véhicules pour se démarquer des autres. Ils sont souvent filmés dans des paysages verts, en pleine nature, ce qui ne reflète pas la réalité de ces automobiles. En effet, les SUV sont très consommateurs et consomment environ 25 % d’énergie de plus qu’une voiture de taille moyenne. Avec 3,3 millions de barils de pétrole de plus utilisés en moyenne par jour, ils ne sont pas favorables au climat.
Des véhicules qui représentent un enjeu pour le réchauffement climatique
D’après les scientifiques, les SUV constituent un enjeu majeur pour le réchauffement climatique et la neutralité carbone. Selon leurs explications, si leur nombre continue à croître, 2 millions de barils seront requis par jour pour leur consommation. Cela annulera alors les économies de CO2 réalisées grâce aux voitures électriques dans le monde.
SUV nocifs pour le climat © Tramino / IStock.com
En octobre dernier, l’Agence internationale de l’énergie a indiqué que les SUV sont les deuxièmes plus gros émetteurs de CO2 au niveau des automobiles. Ils dépasseraient même l’industrie lourde, les camions, les avions et le transport maritime, selon les estimations des experts. Ils sont donc dangereux pour le climat.
Climat : les grands pays font la chasse aux énergies fossiles
De nombreux pays ont évoqué leur plan d’action en faveur du climat entre 2025 et 2040. La France, le Royaume-Uni, la Suède ou encore l’Irlande ont annoncé qu’ils voulaient réduire le nombre de véhicules circulant avec les énergies fossiles pour limiter la pollution atmosphérique.
]]>Riche et diversifiée, la faune marine d’Australie fait partie des plus abondantes dans le monde. Pour découvrir les espèces de coraux et les animaux aquatiques de ce continent, direction le Musée océanographique de Monaco.
Les coraux australiens au Musée océanographique de Monaco
Jusqu’au 31 décembre 2021, le Musée océanographique de Monaco invite le public à découvrir une exposition sur la faune et la flore australienne. À travers des animations projetées sur les murs et les sols, vous ferez une incursion au cœur même de la Grande Barrière de Corail, le plus grand récif corallien au monde (2 300 km de récifs construits par les coraux australiens, dont 850 espèces ont été recensées). Il est aussi possible d’admirer d’autres espèces de la mer de Corail, dont la baleine à bosse, le mérou patate, ou encore le poisson-clown.
Réchauffement climatique : la Grande Barrière de Corail est en danger
Menacée par le réchauffement climatique, la Grande Barrière de Corail a été en proie au plus grave épisode de blanchissement de coraux de son histoire pendant l’été austral écoulé. Les enjeux environnementaux sont donc très importants pour l’Australie, qui dispose de la plus grande diversité d’espèce marine dans le monde. Cette exposition proposée au Musée océanographique de Monaco est un moyen de sensibiliser le public quant aux défis majeurs du réchauffement climatique sur les océans et leurs habitants.
Visitez le Musée océanographique de Monaco pour admirer les coraux © VALERY HACHE / AFP
Les images projetées au Musée océanographique ont été créées sur ordinateur, mais elles apparaissent réelles aux visiteurs. Les animaux réagissent en fonction de l’attitude du public, explique Robert Calcagno, directeur général de l’Institut océanographique de Monaco.
Admirez des coraux vivants
Premier au monde à avoir pu conserver des coraux vivants dans ses aquariums, le Musée océanographique de Monaco détient une collection à la fois magnifique et précieuse. Vous la découvrirez lors de votre visite.
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