Selon les révélations des réseaux d’agences de prestige, l’année 2022 a été particulièrement fructueuse pour l’immobilier de luxe. Ce constat contredit les estimations attendues en raison de la crise en Ukraine et de l’inflation actuelle. Même la fluctuation de la Bourse et la hausse des taux d’intérêt n’ont pas réussi à affecter le secteur.
En effet, l’entreprise Barnes a enregistré des chiffres record en immobilier France d’après son directeur général, Richard Tzipine. De son côté, Sotheby’s International Realty a dévoilé un volume de ventes atteignant les 1,61 milliard d’euros. Chez Daniel Féau, en revanche, le prix moyen du mètre carré de l’immobilier de luxe a même dépassé les 17 200 euros.
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Paris souffre globalement d’une baisse des prix des propriétés depuis deux ans. Les réseaux d’agence de prestige affirment pourtant une autre tendance pour l’immobilier de luxe. D’après eux, les biens les plus chers à plus de 3 millions d’euros se sont vendus plus facilement en 2022. Les quartiers du Marais, des alentours la Tour Eiffel ou de l’Arc du Triomphe ont été les plus prisés dans ce sens.
Cette situation s’explique principalement par l’intérêt des Américains pour les appartements haut de gamme Français. Ces étrangers ont voulu profiter de la force du dollar et du renforcement de leur pouvoir d’achat pour investir à gros budget. Selon Alexander Kraft, le dirigeant de Sotheby’s International Realty, la venue d’autres investisseurs est même très probable en 2023.
Globalement, le marché de l’immobilier de luxe a profité du retour des acheteurs Européens et Américains. Selon les réseaux d’agence du premium, les appartements avec jardin ou terrasse ont été les plus appréciés à Paris en dépit de leur prix élevé. A titre d’exemple, l’entreprise Sotheby’s a enregistré plus de 60 transactions entre 5 et 50 millions d’euros dans le grand luxe.
Selon Richard Tzipine, l’immunité face aux taux d’intérêt est la clé de ce succès. Il faut aussi noter l’envie des personnes disposant d’un pouvoir d’achat élevé de sécuriser leur investissement. Ce n’est donc pas si étonnant si de nombreux étrangers commencent à se tourner vers le secteur de l’immobilier de luxe pour placer leur argent.
Avec ETX DailyUp
]]>La mairie de Paris vient de faire un communiqué sur le rapport de tournages de films dans la capitale. Selon ce responsable, la localité continue d’attirer de nombreux réalisateurs à présent. En effet, celle-ci a accueilli près de 7 000 jours de tournages enregistrés en 2022. Cela concerne notamment près de 102 longs-métrages et 68 séries télévisées.
Le bilan révèle que le cinéma proprement dit a connu une certaine baisse durant cette période. Le recul du long-métrage est estimé à -8 points par rapport à 2021. Ce n’est toutefois pas le cas des séries télévisées qui ont continué de croître avec un bon de +25 points. Le nombre total de jours de tournage semble ainsi au même niveau que 2021, selon Carine Rolland, l’adjointe à la culture de Paris.
Comme le révèle le rapport de la mairie, la réalisation des séries dans la capitale a été plus marquante en 2022. Cela s’explique notamment par l’implication des plateformes de streaming qui ont joué un rôle majeur dans ce succès. C’est le cas de Netflix avec les nouvelles saisons de « Lupin » et « Emily in Paris ». Il en est de même du spin-off de « La Casa de Papel » intitulé « Berlin ».
Mis à part l’adaptation au cinéma de « Woody Allen » avec 2 mois de tournage, deux séries historiques « Benjamin Franklin » et « The New Look » se sont également démarquées du lot. Celles-ci ont nécessité environ 6 mois de réalisation à Paris pour achever l’œuvre. Cela montre bien la richesse historique, architecturale et cinématographique de la capitale.
La mairie continue de travailler pour soutenir l’industrie cinématographique locale à présent. Elle ne manque toutefois pas d’encourager les responsables et les réalisateurs de films à œuvrer également pour l’environnement de la ville. C’est la raison pour laquelle de nouvelles mesures sont adoptées dans cette voie. Il s’agit d’un plan de transition écologique pour rendre les tournages plus responsables.
Dans cette approche, la mairie envisage sérieusement de réduire le nombre de véhicules utilisés sur les plateaux. Elle compte d’ailleurs encourager l’utilisation de sources d’énergie plus respectueuses de l’environnement. A noter que ces règlementations ont été élaborées conjointement avec le Centre National du Cinéma, la région Ile-de-France, les communes et les professionnels du domaine.
Le cinéma est un secteur d’activité qui a une grande part de responsabilité dans la protection de l’environnement. Cela reste valable à Paris, mais également dans le monde entier. Les tournages d’un film ou d’une série peuvent, en effet, entraîner une utilisation excessive de ressources. Ils peuvent aussi engendrer une augmentation du trafic et des perturbations sonores dans la ville correspondante.
L’industrie cinématographique peut cependant être également un levier important dans la préservation de l’environnement. Cela peut se faire en utilisant des pratiques plus durables, telles que la production de films en numérique, qui réduit la quantité de papier et d’emballage utilisés. Les œuvres elles-mêmes peuvent sensibiliser, inspirer et initier le public à mieux protéger la nature.
Conscient de son impact environnemental, le cinéma se met également au vert. Selon plusieurs sources, un bilan carbone est même prévu s’établir prochainement pour déterminer les nouvelles conditions de subvention des productions. Ce bilan permet d’évaluer l’impact environnemental des tournages de films et de prendre les mesures nécessaires pour le réduire.
De plus, les équipes de tournage sont incitées à utiliser des techniques de production écologiques. Elles peuvent notamment limiter l’utilisation de véhicules thermiques et adopter des lumières LED à faible consommation sur les plateaux. Elles sont aussi sensibilisées à supprimer le ventousage et l’usage de filtrage de l’air moins performant pour réduire la pollution.
Avec ETX DailyUp
]]>Avec la pandémie de la Covid-19, la tour Eiffel a dû fermer ses portes au public. Eh bien, récemment, une annonce avait été faite selon laquelle la Dame de Fer accueillerait le public de 10h30 à 18h30 à partir du 16 décembre. Frédéric Hocquard, le maire adjoint au tourisme de la ville, avait même déclaré que « Paris va de nouveau scintiller pour les fêtes de fin d’année ». Finalement, cette décision a été annulée.
Ce monument historique fait partie des attractions touristiques durement impactées par la Covid-19. Pour preuve, son taux de fréquentation a reculé de 80 % par rapport à 2019, tandis que son chiffre d’affaires a baissé de 70 %. Jean-François Martins, Président de la SETE (Société d’exploitation de la tour Eiffel), a révélé que la Dame de Fer ne pouvait accueillir que 2 500 personnes par jour avant le reconfinement, alors qu’elle peut normalement en recevoir 25 000.
La raison évoquée pour cette baisse drastique est bien évidemment les mesures sanitaires imposées pour limiter la propagation de la Covid-19 en France. Par exemple, avec la distanciation sociale, les ascenseurs de la tour Eiffel ne peuvent être remplis qu’à moitié et le couvre-feu précédant le reconfinement avait contraint le monument à fermer plus tôt en week-end.
Cette régression de l’activité s’explique par l’absence de touristes à Paris, 80 à 85 % des visiteurs de la tour Eiffel étant des étrangers, d’après la SETE. Désormais, le mouvement s’est concentré sur « une population de proximité francilienne ».
Avec AFP Relaxnews
]]>Pour sa 29e édition, Animal Expo – Animalis Show a de nouveau fait le bonheur de plusieurs au Parc Floral. Lors de cet événement très attendu, ils ont pu rencontrer des chiens et chats, lapins, oiseaux et se tenir au courant des dernières tendances en matière de bien-être animalier. En plus des mammifères, ils ont aussi eu l’opportunité de choisir des reptiles (serpents, tortues), rapaces, rongeurs en provenance de refuges ou encore d’élevages. Soulignons que toutes les mesures sanitaires étaient prises afin de protéger les visiteurs et les exposants contre la Covid-19.
Le salon parisien était aussi l’occasion de bénéficier de conseils et de recommandations de vétérinaires et de comportementalistes animaliers afin de comprendre les animaux. Il a été possible de discuter avec des professionnels du secteur pour apprendre comment bien prendre soin de votre petit chien ou chat, comment le nourrir ou encore l’éduquer.
Cette année, l’exposition a fait un focus sur les relations entre les humains et les animaux. L’objectif ? Permettre aux propriétaires de mieux comprendre leur compagnon animalier. L’accent était donc placé sur la naturalité, la complicité et l’authenticité.
Enfin, au cours de leur visite, les Français ont aussi eu la possibilité d’acheter toute une variété d’accessoires, de produits d’hygiène, d’activités de loisirs ou encore d’alimentation. Le Made in France et les articles locaux et biologiques y étaient mis en avant.
Sources : sortiraparis.com et animal-expo.com
]]>Nouveaux changements dans la capitale : face à la propagation de l’épidémie de Covid-19, dans la soirée du 4 octobre, Matignon a annoncé que celle-ci était désormais en « zone d’alerte maximale », synonyme de nouvelles restrictions. Le télétravail est donc fortement encouragé à nouveau.
Des mesures sanitaires pour protéger Paris de la Covid-19
Ces « mesures contraignantes » pour protéger la capitale de la Covid-19 dureront 15 jours et toucheront trois départements dans et autour de Paris. Elles sont entrées en vigueur à partir du 6 octobre 2020 et pourront notamment entraîner la fermeture des cafés, comme c’est le cas dans la métropole d’Aix-Marseille ou en Guadeloupe. Cette décision gouvernementale s’est appuyée sur des données inquiétantes du weekend précédent. Elles ont confirmé la dégradation fondamentale des indicateurs principaux qui sont l’incidence de la maladie, la morbidité et la mortalité des personnes âgées, la durée pendant laquelle les patients qui sont positifs au virus occupent le lit de réanimation.
La situation des restaurants et des bars à ce stade de la Covid-19
Suite au suivi du gouvernement à Paris, le Haut Conseil de santé publique a validé le protocole sanitaire renforcé proposé par les professionnels de la restauration, qui s’applique aux zones d’alerte maximale. Les institutions qui le respectent pourront rester ouvertes. L’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie (Umih) a révélé que les restaurants resteront ouverts en applicant ces conditions. Selon le syndicat, les mesures sanitaires prises contre la Covid-19 nécessitent la mise en place d’un cahier de rappel. Une distance d’un mètre et demi est de mise entre chaque table et la fermeture des établissements est fixée pour 22 heures. Néanmoins, les bars seront fermés jusqu’à nouvel ordre.
Le nombre d’élèves réduit à l’université durant l’alerte maximale
Selon l’annonce de Matignon, les salles universitaires ou amphithéâtres ne sont autorisés à être remplis qu’à 50 % de leur capacité en ce temps de pandémie. Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement, a déclaré avoir été choqué par les images d’amphis bondés. En France, cette mesure s’applique plus généralement à tous les établissements d’enseignement supérieur. Elle a pris effet depuis la matinée du 6 octobre après avoir été désignée par la ministre responsable, Frédérique Vidal, la veille.
Télétravail, une nouvelle habitude encouragée
Matignon a attesté que cette partie de la France avait franchi les seuils correspondant à la zone rouge depuis plusieurs jours. Le taux d’incidence dépasse toujours la barre parisienne de 250 pour 100 000 habitants, tandis que les patients positifs au coronavirus occupent plus de 30 % des lits de réanimation, au-dessus du seuil d’alerte maximale de 30 % en région île-de-France. Pour faire face à cette accrue de la pandémie, le télétravail se doit d’être privilégié.
]]>Fin juin, les deux établissements publics ont rouverts leurs portes après trois mois de fermeture en raison du coronavirus. Cette situation a entraîné une perte financière d’environ 10 millions d’euros, sur un budget annuel de 150 millions d’euros. Cette information a été divulguée par Bruno Maquart, président d’Universcience, structure qui regroupe le Palais de la découverte ainsi que la Cité des sciences et de l’industrie.
À compter du 18 septembre 2020, la Cité des sciences et le Palais de la découverte à Paris proposeront une exposition permanente baptisée « Bio-inspirée, une autre approche ». Le but est de permettre au public de découvrir le « biomimétisme ». Il s’agit d’une démarche scientifique respectueuse du vivant et qui s’en inspire.
Pour le moment, le Palais de la découverte et la Cité des sciences à Paris ne peuvent accueillir qu’un nombre limité de monde en raison des recommandations sanitaires. Parmi les mesures prises pour lutter contre le coronavirus on compte le port du masque obligatoire à partir de 11 ans et une billetterie exclusivement en ligne.
Les 12 et 13 septembre 2020, un festival explorera l’odorat sous toutes ses formes. Une exposition dédiée aux constructions hors normes est aussi prévue prochainement à l’établissement public, Cité des sciences. À partir de décembre il y aura une exhibition consacrée au blue jean. Fin 2020, le Palais de la découverte fermera pour des travaux qui dureront plusieurs années.
]]>Chez Island Poké, les plats proposés dans le restaurant sont sains, sans pour autant perdre de leur originalité et leur saveur. Les clients ont le choix entre le riz blanc et le riz brun pour la base, mais des alternatives plus « healthy » comme les nouilles zéro calories, le quinoa ou encore de la salade, qui sont aussi proposées. Côté protéines, vous pouvez opter pour du thon, du poulet, du saumon ou sinon du tofu fumé pour les végétariens.
Le respect des ressources et de la planète est une priorité chez Island Poké. Le poisson utilisé dans les plats de la chaîne londonienne est donc issu d’une pêche éthique et durable. Le restaurant obtient en effet ses produits d’une petite coopérative de pêche familiale située en Norvège, qui se soucie véritablement du bien-être des saumons.
D’autre part, le poké bowl est proposé dans un bol biodégradable qui se substitue désormais au plastique. Ces bols, qui ont nécessité 14 mois de travail à Island Poké, sont fabriqués avec de la bagasse, soit le résidu de la canne à sucre. D’après le restaurant, ils ne prennent que 119 jours pour se décomposer.
Chez Island Poké, vous pouvez bien évidemment choisir les plats élaborés par les chefs de cuisine. Cependant, le restaurant vous donne aussi la possibilité de composer votre propre menu, avec les ingrédients de votre choix.
Sources : sortiraparis.com et islandpoke.com
]]>Retenez les dates ! La Fashion Week de Paris sera bel et bien au rendez-vous cette année. Les défilés de prêt-à-porter féminin pour la saison printemps-été 2021 se tiendront donc du 28 septembre au 6 octobre. C’est ce qu’a annoncé la Fédération de la Haute Couture et de la Mode.
Pour ne pénaliser personne, le show haute couture aura non seulement un événement physique, mais il y aura aussi une expérience digitale. Rappelons que la crise sanitaire a affecté la tenue des défilés hommes et femmes. Plusieurs créateurs, marques et maisons de mode ont même dû annuler des événements dans le monde. En confirmant son défilé de prêt-à-porter féminin printemps-été 2021, la Fashion Week de Paris apporte une petite lueur d’espoir.
Les conditions dans lesquelles se tiendra cette Fashion Week de Paris en septembre ne sont toujours pas connues. Cependant, la Fédération de la Haute Couture et de la Mode précise qu’elle « se conformera aux recommandations des pouvoirs publics » pour que tout se passe au mieux.
Pour rappel, les défilés masculins ont été repoussés et remplacés par une édition digitale. Elle ont eu lieu du 9 au 13 juillet.
]]>Les passionnés de photographie seront ravis d’apprendre le retour du festival Circulation(s), proposé par l’association Fetart. 45 jeunes photographes vous proposent de découvrir leurs œuvres d’art, qui tournent autour de l’injustice sociale, de la quête de soi ou encore du futur. Pour cette nouvelle édition, l’événement met en avant la Biélorussie.
Le festival Circulation(s) est l’occasion pour les jeunes photographes de s’exprimer et de montrer leur engagement en faveur de nombreux sujets qui font l’actualité : acte citoyen, militantisme, etc. L’exposition est divisée en plusieurs parties, dont chacune contribue à raconter un parcours ou à révéler l’Europe à travers les yeux des artistes.
Les visiteurs sont également invités à découvrir des techniques de fabrication et de détournement de l’image lors de ce rassemblement. Pour l’édition spéciale Biélorussie, Circulation(s) vous propose de découvrir le collage, les reconstitutions, les captures d’écran et de nombreuses autres techniques utilisées dans le monde de la photo.
Surprise ! Cette année, les petits ne sont pas oubliés au festival Circulation(s). Ceux qui accompagnent leurs parents pourront eux aussi profiter d’un parcours spécialement élaboré pour eux. Des terrains de jeux ont aussi été prévus pour nos petits visiteurs.
Source : sortiraparis.com
]]>Si la France prévoit d’alléger les restrictions imposées à cause de la Covid-19 sur son territoire, certains grands musées et attractions resteront fermés en juin. Tel est le cas pour le Musée du Louvre, qui ne pourra ouvrir ses portes qu’en juillet à Paris. Rappelons que l’établissement culturel est fermé depuis le 13 mars dernier, date à laquelle le confinement a été imposé dans l’Hexagone.
Pour pouvoir visiter le Musée du Louvre à Paris, le public devra porter un masque. Il en sera de même pour les autres grands établissements culturels de France. Pour prévenir un afflux de visiteurs, certains devront peut-être mettre sur pied un système de réservation, indique l’AFP.
De son côté, le musée parisien indique que le public devra également respecter les mesures de distanciation sociale. D’autre part, un communiqué indique que les visiteurs pourront réserver leur billet en ligne dès le 15 juin 2020 pour pouvoir découvrir ou redécouvrir les plus grandes œuvres d’art du Musée du Louvre, à l’instar de la Joconde, ainsi que les collections permanentes ou temporaires.
Avec la crise de la Covid-19, l’établissement culturel a dû reporter deux de ses expositions prévues pour le printemps à Paris. Celles-ci seront disponibles aux amateurs d’art à l’automne, d’après un communiqué.
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