Une étude indique que le vélo est le moyen de locomotion qui émet le moins de CO2. Raison de plus de se mettre à pédaler au lieu de conduire une voiture !
Adoptez le vélo si vous voulez lutter contre la pollution
Vous circulez à vélo ? Bonne initiative ! D’après une étude réalisée dans 7 grandes villes européennes (Londres, Rome, Barcelone, Anvers, Vienne, Zurich et Örebro), un cycliste émettrait 84 % de CO2 de moins par rapport à ceux qui roulent en voiture ou qui utilisent les transports en commun.
La mobilité automobile, un secteur très pollueur
L’automobile est un secteur qui pollue beaucoup, raison pour laquelle de plus en plus de constructeurs tentent de se tourner vers la mobilité électrique et que de nombreuses personnes adoptent le vélo. En effet, selon cette étude parue dans la revue Science Direct, les émissions quotidiennes de CO2 par personne s’élèvent à 3,2 kg en moyenne.
Faites de la bicyclette pour lutter contre la pollution © photoschmidt / Getty Images
70 % de ces rejets de dioxyde de carbone sont en provenance des trajets en voiture, précise ce rapport. Cela veut dire que plus il y aura de personnes qui circulent à vélo, plus la pollution diminuera. Résultat, l’air que nous respirons deviendra plus pur et la qualité de vie en ville s’améliorera.
Découvrez les avantages de la bicyclette
Vous n’êtes pas encore convaincus ? Voici quelques bonnes raisons de se mettre au vélo :
- Un allié pour une santé de fer
- Contribue à réduire le stress
- Maintien de la forme physique
- Permet de circuler plus vite sur de courtes distances
- Permet d’éviter les bouchons
Avec l’ETX Studio/AFP
]]>À partir de 2023, les nouveaux trains rouleront dans la région Grand Est à titre d’expérimentation. Le Centre-Val de Loire et la Bourgogne-Franche-Comté les ont aussi accueillis récemment.
Des trains considérés comme écologiques
Présentés comme étant écologiques, les nouveaux trains sont une alternative aux véhicules qui utilisent du diesel. Le but de la France est de moderniser sa flotte ferroviaire tout en assurant la protection de l’environnement. Le train est perçu comme un moyen de transport plutôt vertueux sur le plan écologique.
Les caractéristiques de ce nouveau mode de déplacement
Les trains à hydrogène produisent eux-mêmes leur électricité et se dotent d’une pile combustible qui se situe sur le toit. C’est justement grâce à cette pile que le véhicule peut avancer. Dans ce mode de déplacement, tout est optimisé. Pendant les freinages, la friction permet de remplir des batteries situées sous le train.
Il n’y a plus de rejets de CO2 ou de particules fines propres aux moteurs à essence ou à ceux qui utilisent le diesel et contribuent à la pollution. Ce mode de déplacement rejette de l’eau pure. Selon un rapport parlementaire publié en 2018, ces trains représentent moins de 1 % des émissions de gaz à effet de serre du secteur des transports.
La production d’hydrogène pose problème
Par contre, la conception de ce composant de l’eau est une cause de pollution. La conversion de ce gaz naturel nécessite une utilisation industrielle d’énergies fossiles. Pourtant, il est possible de le concevoir avec des énergies renouvelables comme les éoliennes.
Avec l’ETX Studio/AFP
]]>Les derniers chiffres du CCFA démontrent l’intérêt des consommateurs pour les véhicules de seconde main, dans le contexte sanitaire actuel. Le marché de l’automobile d’occasion connaît un bond, tandis que celui du neuf accuse un repli sur une année.
Recul des ventes de véhicules neufs
En octobre 2020, 171 049 véhicules ont été immatriculés, ce qui représente une régression de 9,49 % sur un an, par rapport à la même période l’an dernier. À l’inverse, les voitures d’occasion connaissent, elles, un regain d’intérêt de la part des acheteurs et voient leurs ventes grimper de 11 % au dixième mois de l’année.
Les voitures françaises plus prisées que les autres
L’expert en automobile note également un engouement particulier pour les voitures Made in France. Pour preuve, les constructeurs locaux voient leurs immatriculations bondir, tandis que les fabricants étrangers essuient une baisse de 14,62 % en moyenne.
Le marché automobile affecté par la crise de la Covid-19 © simonkr / IStock.com
Dans le détail, le groupe Renault affiche un recul de 9,69 %, en immatriculant seulement 42 634 véhicules. Sa marque Dacia est celle qui connaît la baisse la plus importante, soit de 23,30 %. Chez PSA, les immatriculations ont reculé de 2,78 %. Volkswagen, qui se présente comme le premier importateur en France, affiche des régressions de 8,23 %.
Les hybrides tirent leur épingle du jeu
De leur côté, les véhicules hybrides ou électriques sont désormais très prisés par les acheteurs, et représentent environ une vente de voiture sur cinq. De ce fait, la France enregistre son plus bas historique en termes d’émissions de CO2 issus des véhicules nouvellement sortis, à 95,5 g/km.
Avec AFP Relaxnews
]]>Malgré la crise, bon nombre de consommateurs souhaitent concrétiser leur projet d’achat de voiture, d’après l’Ipsos. Bonne nouvelle pour le secteur automobile, qui a subi la pandémie de plein fouet.
Automobile : la voiture séduit toujours autant en Europe
Selon une étude d’Ipsos, les Français qui voulaient acheter une voiture avant la crise sanitaire tiennent toujours à se jeter à l’eau. D’ailleurs, l’enquête note que certains sont même plus enclins à acquérir une automobile maintenant qu’avant le confinement (27 %). Le taux est plus élevé par rapport à l’Espagne, au Royaume-Uni (21 %) et l’Italie (20 %).
Quels sont les motifs des consommateurs pour l’achat d’un véhicule ?
Pour les consommateurs ayant participé à cette étude, la voiture se présente comme un mode de déplacement plus sûr que les transports en commun au niveau sanitaire. Également soucieux de leur empreinte carbone, 42 % des sondés souhaitent que les Français se tournent vers une automobile électrique dans le futur.
Quand il s’agit d’acheter leur nouvelle voiture, près d’un quart des participants (24 %) sont nombreux à opter pour la vente en ligne plutôt que de se rendre en concessions. Avec la pandémie, les sondés veulent donc continuer à pratiquer les mesures de distanciation sociale pour se protéger du virus.
Acquisition d’une automobile : quelle est la situation à l’étranger ?
À l’étranger, les participants au sondage sont moins enclins qu’ils l’étaient avant la crise à acheter une voiture : 51 % en Italie, 47 % en Espagne, 28 % en Allemagne et 24 % en Angleterre. En effet, les Européens des pays voisins craignent le déclenchement d’une grande crise économique. Ils préfèrent donc ne pas faire de dépenses conséquentes importantes en achetant une automobile.
]]>Avant même la crise du COVID-19 en Europe, le marché automobile européen s’est replié, d’après les derniers chiffres de l’Association des constructeurs européens d’automobiles (ACEA). Les immatriculations sont en baisse chez tous les grands fabricants de voitures.
Marché automobile : repli important en Europe
En février 2020, le marché automobile s’est replié de 7,4 % en Europe, à en croire les derniers chiffres des experts du secteur. Seulement 957 000 voitures particulières neuves ont été vendues, avec les 4 marchés européens principaux enregistrant tous une décroissance : -10,8 % en Allemagne, -8,8 % en Italie, -6 % en Espagne et -2,7 % en France. À noter que suite au Brexit, la performance du Royaume-Uni n’est plus incluse dans ce rapport.
Voitures neuves : une baisse qui s’explique par plusieurs facteurs
D’après les experts, cette baisse du marché automobile en Europe est la conséquence de l’anticipation des immatriculations ayant eu lieu fin 2019. En effet, de nombreux constructeurs ont voulu écouler les véhicules polluants avant l’entrée en vigueur des nouvelles normes européennes en termes d’émissions de CO2. L’autre raison évoquée est le durcissement de la fiscalité sur le marché automobile dans de nombreux pays, dont la France, que certains veulent esquiver.
Par ailleurs, l’ACEA indique qu’« un affaiblissement de la conjoncture économique mondiale » avait été constaté avant même les mesures de confinement mises en place en Europe en raison du COVID-19. Les grands marchés européens sont en effet paralysés, tandis que les sites de fabrication sont à l’arrêt, ou le seront prochainement.
Volkswagen domine toujours le secteur
En dépit de la situation contraignante, Volkswagen a gardé sa place en tant que leader du marché automobile européen, quoiqu’en enregistrant des livraisons en baisse de 5,3 %. Selon l’ACEA, les groupes Renault et PSA enregistrent aussi des baisses de leurs immatriculations en Europe.
]]>La pollution sonore est une réalité et représente un danger pour la santé, prévient l’EEA (Agence européenne pour l’environnement). D’après elle, les nuisances sonores seraient principalement causées par la mobilité.
EEA : la santé des Européens perturbée par la pollution sonore
D’après les statistiques de l’EEA, 113 millions de personnes seraient touchées par la pollution sonore liée à la circulation routière en Europe, ce qui pose des problèmes sanitaires et nuit à leur bien-être. L’association révèle que « dans la plupart des pays européens, plus de la moitié de la population urbaine est exposée à des niveaux de bruits de la route supérieurs ou égaux à 55dB ». Il s’agit donc d’un nombre supérieur aux 53dB recommandés par l’Organisation mondiale de la Santé.
La mobilité urbaine pointée du doigt en Europe
L’EEA estime que 22 millions d’Européens sont perturbés par la pollution sonore associée au train et 4 millions à celle engendrée par l’avion. Fort de ce constat, elle appelle donc les autorités à mieux encadrer le bruit en vue de le réduire, car la pollution sonore représente un enjeu de santé et cause environ 12 000 décès prématurés tous les ans.
Catherine Ganzleben, responsable du département Pollution de l’air, environnement et santé à l’EEA, est d’avis que les autorités concernées doivent impérativement se pencher sur la mobilité urbaine et faciliter les modes de transports alternatifs comme le vélo et la marche, ainsi que les transports en commun.
Quels sont les effets des nuisances sonores sur les humains ?
La pollution sonore est nuisible à la santé publique dans la nuit en particulier, selon l’EEA. Elle cause des troubles du sommeil, de métabolisme, des capacités cognitives ou encore cardio-vasculaires. Sur le Vieux Continent, le bruit est à l’origine de troubles cognitifs chez 12 500 enfants tous les ans.
]]>Alors qu’elle est déjà un leader en matière de véhicules électriques, la Chine veut à présent promouvoir l’utilisation du moteur à hydrogène dans le secteur de l’automobile. Ce faisant, l’Empire du Milieu entend limiter la pollution causée par les automobiles.
Les véhicules à hydrogène, le pari de la Chine
Un amendement a été effectué au sein du « rapport de travail » annuel de l’État à la mi-mars 2019, afin d’y ajouter une clause pour le développement de stations de recharge pour les véhicules à hydrogène. En ce moment, la Chine en détient une quinzaine, mais souhaite en augmenter le nombre.
Objectif : réduire la pollution liée aux automobiles en Chine
Comme l’expliquent les analystes de Fitch Solutions, l’hydrogène « est la prochaine étape logique pour réduire les émissions polluantes ». Dans le même temps, l’utilisation de ce carburant se présentera comme une solution à certaines problématiques liées aux véhicules électriques. L’on parle notamment de l’autonomie, de la consommation d’électricité, ou encore du temps de recharge.
Actualité à écouter
En 2020, Pékin, capitale de la République populaire de Chine, mise sur la circulation de 5 000 véhicules à hydrogène sur les routes. Par la suite, le pays compte augmenter le nombre à 50 000 d’ici 2025 et à 1 million en 2030. Au vu du marché colossal que représente la Chine, avec 28 M de véhicules vendus en 2018, il s’agit d’un objectif pour le moins modéré.
Le fonctionnement de la technologie à hydrogène
Le fonctionnement de cette technologie repose sur le stockage de l’hydrogène comprimé dans un réservoir, pour ensuite la transformer en électricité via une pile, pour l’alimentation d’un moteur électrique. Pour l’heure, la pile à combustible est onéreuse en raison du faible volume produit. Néanmoins, la Chine pourrait encourager l’usage de ces automobiles en proposant des subventions.
]]>Selon une étude, le seul fait de pratiquer une heure d’exercice physique par semaine peut aider les seniors à préserver leur autonomie motrice. Cela s’applique notamment à ceux qui souffrent de douleurs articulaires.
Les bienfaits de l’exercice physique dans une étude
Pour cette étude, les chercheurs ont observé les habitudes d’exercice physique de plus de 1 500 personnes âgées de 49 à 83 ans sur une période de 4 ans. Ces patients avaient des problèmes au niveau des articulations des membres inférieurs, mais étaient tout de même considérés comme « mobiles ». Cela veut dire qu’ils pouvaient réaliser des gestes quotidiens comme le fait de s’habiller ou encore de prendre un bain.
Le rôle de l’activité sportive sur la mobilité des seniors
Les scientifiques ont surveillé l’activité sportive et l’accélération des mouvements des participants à l’aide de capteurs. Dorothy Dunlop, l’une des auteures de cette étude, indique que l’objectif de ces recherches était de savoir quel type d’exercice physique permettrait d’être protégé d’un handicap.
Les résultats de cette étude ont démontré que pratiquer une heure d’exercice physique par semaine pourrait permettre aux retraités de réduire leurs risques de perdre leur mobilité de 85 %. Du côté de ceux qui ne s’adonnaient pas à une heure d’activité sportive hebdomadaire, 24 % marchaient trop lentement pour traverser la rue et 23 % avaient des soucis pour effectuer leur routine matinale, précise l’étude.
Les recommandations de l’OMS pour rester en forme
Pour rester en forme, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) recommande aux adultes de faire 2h30 d’exercice physique modéré chaque semaine. Cela concerne également les personnes âgées, même si celles-ci peuvent avoir plus de difficulté à l’appliquer.
]]>La mobilité propre se mobilise sur le thème de l’hydrogène, déjà adopté par certains constructeurs. Le lancement d’un appel à projets (AAP) en octobre 2018 a permis de récompenser 11 lauréats autour de la motorisation de véhicules professionnels.
L’hydrogène, une solution de mobilité grand public
Le choix d’une mobilité propre est dicté par le respect de l’environnement et les lois qui en découlent. La technologie du moteur à hydrogène est déjà exploitée par des constructeurs comme Toyota avec la compacte Mirai. Celle-ci, comme sa devancière hybride la Prius à son époque, utilise un principe révolutionnaire. Honda a fait de même avec la Clarity Fuel Cell qui appartient au même segment automobile.
L’appel à projets de motorisations pour véhicules professionnels
11 lauréats hydrogène de l’appel à projets de L’Avere-France (Association nationale pour la mobilité) ont été choisi parmi 24 dossiers déposés depuis octobre 2018. L’objectif final est de déployer 5 000 véhicules professionnels dotés de motorisations à pile à l’horizon 2030. Il s’agit de la cible de la Programmation pluriannuelle de l’énergie présentée initialement le 1er juin 2018 par le Gouvernement.
Les innovations pour utilitaires, camions ainsi que le transport maritime
Les entreprises et les collectivités locales auréolées dans le cadre de l’initiative sur la mobilité hydrogène couvrent l’ensemble des activités exercées par les utilitaires, les poids lourds et les transports en commun. La Chambre de commerce et d’industrie du Var a par ailleurs soutenu HYNOVAR et son projet de navette pouvant accueillir jusqu’à 200 passagers. Michelin et ENGIE de leur côté ambitionnent de déployer des stations de recharge auto à électrolyseurs.
L’engouement des territoires pour la mobilité à hydrogène
Le premier AAP hydrogène a reçu un écho favorable dans de nouveaux territoires qui ont envoyé leurs candidats : Bretagne, Occitanie, Grand Est et autres. L’enthousiasme dépasse le cadre de la mobilité, avec une vision plus large de l’exploitation énergétique. Selon l’Ademe (agence nationale de l’énergie), les concepts récompensés seront dimensionnés et évalués sur le plan financier.
Source : avere-france.org
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