Alors que l’Organisation mondiale de la santé préconise la pratique de plus ou moins 2 heures de sport d’intensité modérée toutes les semaines pour se maintenir en bonne santé, une nouvelle étude explique que 22 minutes d’activité physique, tous les jours, seraient aussi bénéfiques pour les sédentaires. Menée par des chercheurs d’UiT, The Artic University of Norway, cette recherche a pour objectif de savoir si le sport permettait de baisser le risque de décès induit par la sédentarité. En effet, ils ont constaté que les adultes restaient assis entre 9 à 10 heures par jour dans les pays développés, ce qui représente un niveau d’inactivité considérable. De plus, le télétravail a encouragé cette mauvaise habitude.
Les résultats de la recherche norvégienne démontrent que cette durée d’exercices physiques préconisée par les chercheurs était effectivement avantageuse. Elle garantirait surtout de contrebalancer les effets de la sédentarité sur la santé des personnes concernées. De plus, il s’agirait d’une durée minimum, autrement dit, plus elle augmente, plus le risque de décès associé à l’inactivité baisse. Le fait de s’activer 10 min de plus réduirait, par exemple, ce risque de 15% chez les individus qui restent assis en moyenne pendant 10,5 heures par jour. Il faut noter aussi que la durée définie dans cette étude est semblable à celle préconisée par l’OMS pour rester en forme.
Dans le cadre de leur étude, les chercheurs norvégiens donnent leurs recommandations quant au type de sport idéal pour les personnes sédentaires. Bonne nouvelle pour ces dernières, il n’y a pas besoin de pratiquer des exercices d’endurance intenses pour diminuer leur temps de sédentarité. Il suffit de mouvoir son corps et de dépenser de l’énergie, par exemple en marchant plutôt qu’en prenant la voiture ou le bus ou encore en choisissant de monter les escaliers au lieu de prendre l’ascenseur. Le plus important à retenir est de faire en sorte que les mouvements réalisés occasionnent une dépense énergétique pour le corps. Le vélo peut aussi être une option pratique.
L’immobilité prolongée est souvent liée à des heures interminables assis au bureau ou devant des écrans. Elle impacte la santé en réduisant la dépense calorique et peut favoriser la prise de poids, affaiblir les muscles et les os, perturber le métabolisme, diminuer l’efficacité du système immunitaire, ralentir la circulation sanguine, augmenter l’inflammation et déséquilibrer les hormones. La sédentarité n’est pas seulement préoccupante pour la santé physique, mais est également associée à des troubles psychologiques tels que la dépression et l’anxiété. Ce sont autant de raisons qui poussent les autorités sanitaires à encourager le sport comme la marche ou le vélo.
Pour lutter contre la sédentarité, surtout en télétravail ou au bureau, des astuces quotidiennes permettent d’intégrer le mouvement dans la routine. Il est possible d’utiliser un bureau réglable pour travailler debout et améliorer la circulation sanguine ou encore de remplacer la chaise par un ballon de gym. Les experts conseillent aussi de programmer des pauses régulières pour des exercices ou des promenades afin de rester actif. Adopter une approche créative pour inclure des exercices à domicile comme la montée d’escalier, peut aussi être efficace. La clé est de créer un rythme quotidien qui inclut des mouvements physiques réguliers pour contrer les effets d’un mode de vie sédentaire.
Avec ETX/DailyUp
]]>Les « Double Income No Kids » (DINKs), ces couples sans enfant bénéficiant de revenus stables, font aujourd’hui l’objet d’une attention particulière. L’acronyme énigmatique, forgé par les Anglo-Saxons il y a plusieurs décennies, connaît actuellement une popularité croissante grâce aux réseaux sociaux, TikTok en tête. Cette tendance n’a pas échappé aux acteurs du secteur du tourisme, à savoir les agences de voyages et les sites de réservation en ligne. Ces derniers adaptent désormais leur offre pour séduire cette catégorie de voyageurs à double salaire, dépourvue de responsabilités parentales. Une clientèle exigeante qui privilégie des expériences uniques, des destinations exotiques et un confort haut de gamme en matière d’hébergement et de location de vacances. Cette montée en puissance des DINKs impacte ainsi les stratégies marketing et l’offre touristique, incitant à repenser les voyages pour mieux répondre à leurs attentes.
Tous les sites de réservation d’hébergements de vacances et d’offres touristiques le disent : septembre est le mois préféré des DINKs, ces couples solos avides de quiétude et de prestations haut de gamme. Ils représentent plus de 95 % de la clientèle. Cette tendance s’explique aisément : avec la rentrée des classes et le prolongement de l’été indien sur le mois de septembre et début octobre. C’est pour eux la période idéale entre les vacances d’été et de la Toussaint pour choisir des destinations pour lesquelles la tranquillité et paix règnent, sans la présence habituelle des plus jeunes vacanciers, pour des séjours réussis et inoubliables. Ainsi, ces adeptes du calme et du confort peuvent savourer pleinement leurs escapades, préférant des lieux de villégiature dépourvus de l’effervescence juvénile caractéristique de la période estivale.
Choisir de partir en septembre ou tout début octobre, c’est profiter des bons plans et des tarifs de voyages souvent plus abordables. De plus, les températures restent clémentes, et surtout, les couples sans enfant ont la certitude d’éviter les foules et l’agitation propres aux voyages et vacances en famille. Ils peuvent ainsi savourer leur séjour, que ce soit en bord de mer ou au bord de la piscine, sans être perturbés par les cris des enfants. Certaines compagnies d’avion en ont même fait des arguments marketing et une stratégie de développement !
Cependant, le fait de ne pas avoir d’enfants ne signifie pas pour autant qu’ils ne cherchent pas à s’amuser. Selon une récente enquête menée par un site international de réservation d’hôtels en ligne, 78 % des DINKs souhaitent pleinement profiter des installations généralement destinées aux enfants et aux ados pendant la haute saison, comme les toboggans aquatiques et les salles de cinéma, sans oublier les nombreuses activités sportives et nautiques. Cela démontre ainsi leur désir de divertissement et de détente lors de leurs voyages. Un équilibre parfait entre tranquillité et divertissement pour ces voyageurs avertis que sont les DINKs.
Les aspirations des DINKs s’inscrivent dans la tendance en vogue des hôtels « réservés aux adultes », une évolution marquante dans l’industrie de la location de vacances. Cette tendance a émergé en 2018 à Marbella, en Espagne, avec l’inauguration du Nobu Hotel Marbella, un établissement dont l’initiateur n’est autre que l’illustre acteur Robert de Niro.
Ce concept novateur a rapidement essaimé dans d’autres pays tels que l’Allemagne, la Grèce et la Turquie. Ces établissements, généralement inaccessibles aux moins de 16 ans, ont rencontré un succès indéniable.
En effet, ils répondent aux attentes d’une clientèle à la recherche d’une expérience exclusive. Désormais, on estime à plus de 1 000 le nombre de ces havres dédiés aux adultes disséminés à travers le globe, reflétant ainsi l’engouement croissant pour ce type d’hébergement. Une nouvelle donne dans le monde des locations saisonnières (hôtel, campings, chalets, gîtes, résidences et maisons de vacances…) qui redéfinit les attentes et les préférences des DINKs et autres adeptes de voyages sans contraintes.
Cette tendance en matière d’hébergement reflète l’aspiration marquée des DINKs à profiter de moments en couple, dans un environnement paisible et intime. Selon l’étude de Hotels.com, ces types de vacanciers expriment le désir de séjourner dans un cadre propice à la détente (35 %) et d’éviter le brouhaha des jeux d’enfants toute la journée (33 %). L’idée de se ressourcer et de se détendre dans une atmosphère calme et sans perturbations constitue ainsi un élément essentiel de leur choix de destinations de vacances d’été et en matière d’hébergements. Les DINKs participent donc à l’allongement de la saison touristique, ce qui n’est pas sans plaire aux acteurs du tourisme !
Toutefois, les hôtels réservés aux adultes, communément appelés « adult only », ne se limitent pas exclusivement aux DINKs à proprement parler. Ils attirent également les couples avec enfants désireux de s’offrir une parenthèse en amoureux, loin de leur progéniture, ainsi que les membres adultes de familles ou encore les groupes d’amis en quête de tranquillité. C’est ce que révèle une étude réalisée par OnePoll pour le compte d’Hotels.com entre le 21 et le 25 août 2023, auprès d’un échantillon de 1 000 Français en couple, ne possédant pas d’enfants et bénéficiant de deux sources de revenus.
Cette enquête met en lumière l’attrait généralisé pour des établissements offrant une atmosphère exclusivement réservée aux adultes, renforçant ainsi le caractère polyvalent de cette tendance hôtelière.
Avec ETX / DailyUp
]]>Selon la nouvelle étude qui est notamment axée sur la sédentarité, les personnes en manque d’exercices pendant au moins deux ans avant la pandémie étaient plus susceptibles d’être hospitalisées et de nécessiter de soins intensifs. Ces dernières décèdent plus souvent de l’épidémie que les gens qui avaient respecté les recommandations concernant les activités physiques.
Les chercheurs ont tenu à souligner que comparée aux autres facteurs tels que l’obésité, le tabagisme, l’hypertension artérielle, les maladies cardiovasculaires ou encore le cancer, la sédentarité était le facteur de risque de décès le plus important dans tous les résultats. Parmi les sédentaires, environ 9% au total ont été hospitalisés à cause de la Covid-19 et 2% sont décédés.
L’étude, la première en date qui explore la liaison entre la sédentarité et le coronavirus, a pris en compte près de 50,000 patients. Pour enquêter sur l’impact de l’inactivité physique sur le virus, en passant par la gravité de l’infection, l’hospitalisation, le passage en réanimation et le décès, les scientifiques ont suivi le parcours de 48,440 adultes infectés par l’épidémie entre janvier et octobre 2020.
Il a été noté que les patients qui ne faisaient pas d’exercices étaient 73% plus susceptibles d’avoir besoin de réanimation et 2,5 fois plus enclins à mourir de la Covid-19. Cependant, cette enquête ne permet pas d’apporter la preuve d’un lien direct entre la sédentarité et les résultats obtenus.
Avec l’ETX Studio/AFP
]]>Vous circulez à vélo ? Bonne initiative ! D’après une étude réalisée dans 7 grandes villes européennes (Londres, Rome, Barcelone, Anvers, Vienne, Zurich et Örebro), un cycliste émettrait 84 % de CO2 de moins par rapport à ceux qui roulent en voiture ou qui utilisent les transports en commun.
L’automobile est un secteur qui pollue beaucoup, raison pour laquelle de plus en plus de constructeurs tentent de se tourner vers la mobilité électrique et que de nombreuses personnes adoptent le vélo. En effet, selon cette étude parue dans la revue Science Direct, les émissions quotidiennes de CO2 par personne s’élèvent à 3,2 kg en moyenne.
70 % de ces rejets de dioxyde de carbone sont en provenance des trajets en voiture, précise ce rapport. Cela veut dire que plus il y aura de personnes qui circulent à vélo, plus la pollution diminuera. Résultat, l’air que nous respirons deviendra plus pur et la qualité de vie en ville s’améliorera.
Vous n’êtes pas encore convaincus ? Voici quelques bonnes raisons de se mettre au vélo :
Avec l’ETX Studio/AFP
]]>Cette étude réalisée tous les 2 ans par l’Ipsos révèle que seuls 86 % des Français de 15 ans et plus ont fait de la lecture en 2020. Il s’agit d’un nombre en recul de 8 points par rapport à 2018. 14 % des sondés n’ont donc lu aucun livre l’an dernier. La présidente du Centre national du livre, qui a publié ce rapport, indique que le nombre de lecteurs a baissé globalement.
D’après l’établissement public, la crise sanitaire aurait poussé les Français à vouloir mieux comprendre le monde. De ce fait, leur lecture s’est notamment appuyée sur des bouquins de reportages et d’actualités. Les romans et les livres pratiques ont quant à eux moins séduit les sondés.
Dans le détail, cette étude révèle que 75 % des lecteurs ont acheté au moins un bouquin neuf l’année écoulée. 34 % se sont quant à eux tournés vers le marché de l’occasion. 68 % des répondants disent quant à eux qu’on leur a prêté ou offert un livre.
Ceux interrogés dans le cadre de cette étude disent ne pas avoir perdu l’intérêt pour la lecture. C’est surtout le temps qui leur fait défaut pour savourer un bon ouvrage littéraire (51 %). 37 % citent quant à eux la concurrence des autres loisirs.
Avec l’ETX Studio/AFP
]]>Dans un couple où l’un des partenaires cherche à dominer l’autre en ayant recours à la violence conjugale, plusieurs types d’attitudes peuvent être observés. Parmi eux, on compte les menaces, la culpabilisation ou encore l’isolation. Les violences conjugales s’illustrent de différentes façons même si l’on retrouve un mode de fonctionnement caractéristique du conjoint abusif.
L’enseigne OpinionWay a noté que de nombreuses adolescentes en couple ne se reconnaissent pas comme victimes de violences conjugales non pas parce qu’elles ne le subissaient pas mais plutôt parce qu’elles ne savaient l’identifier. Selon Louise Delavier, co-fondatrice de l’association En avant toute(s), « il y a un imaginaire autour des violences conjugales qui n’inclut pas les jeunes ».
D’après l’enquête d’OpinionWay, deux femmes de moins de 25 ans sur dix ont déclaré déjà avoir été victimes de violences conjugales de la part de leur partenaire actuel ou d’un ex. Cependant, les jeunes utilisent rarement le terme et emploient des termes différents comme « Mon copain me force » ou « il est trop jaloux ».
Dans ce sondage, la gent féminine évoque notamment l’intrusion dans leur téléphone, le chantage, le harcèlement ou encore l’humiliation dans l’intimité et en public. L’isolement et l’éloignement des amis et de la famille figurent également sur cette liste.
Avec l’ETX Studio/AFP
]]>Si l’alimentation des habitants de la Méditerranée est encouragée pour la perte de poids, suivre un régime végan pourrait être encore plus efficace, selon une étude menée par des chercheurs du Physicians Committee for Responsible Medicine. Il aiderait plus particulièrement à éliminer les kilos en trop, en plus de contrôler les niveaux de cholestérol et la sensibilité à l’insuline.
Dans le cadre de ces recherches, deux groupes de participants ont été sélectionnés. Le premier a été soumis à un régime végan, avec très peu de graisse, avec aucun produit d’origine animale bien sûr. L’alimentation de ces personnes était surtout basée sur les fruits, les légumes, les céréales complètes et les légumineuses. Quant au second groupe, il a suivi une diète méditerranéenne, avec en plus la consommation de poisson, de produits laitiers faibles en matières grasses et de l’huile d’olive extra-vierge. Ils ont également été autorisés à manger de la viande rouge (en petite quantité) et des graisses saturées.
Notez qu’aucune modification n’a été faite en termes de calories consommées ou encore au niveau des habitudes d’activité physique et de médication (sauf sous recommandation du médecin). Le régime végan et la diète méditerranéenne ont été suivis pendant 16 semaines.
Après les 16 semaines sur le régime végan, les participants ont perdu 6 kg en moyenne, alors que le 2e groupe n’a pas enregistré des résultats concluants. Ils ont aussi perdu 3,4 kg de masse graisseuse, et ont vu leurs taux de cholestérol diminuer considérablement.
Avec l’ETX Studio/AFP
]]>Alors que les aides à la conduite deviennent de plus en plus perfectionnées, une personne sur 2 trouve cela gênant (26 %) voire même stressant (27 %) que cette technologie prenne le contrôle de leur voiture. En effet, seulement 9 % des sondés trouvent cela « génial ». D’après les enseignements de cette étude de Carglass, ce sont majoritairement les femmes et les personnes âgées de plus de 65 ans qui ne sont pas totalement à l’aise avec ces dispositifs.
Pour une grande partie des automobilistes, cette technologie est indispensable au sein d’un véhicule, révèle cette étude. Les aides à la conduite les plus prisées sont la direction assistée (74 %), le freinage automatique d’urgence (68 %), la détection des piétons (66 %), le système anticollision (57 %) ou encore la surveillance des angles morts (54 %). Les deux systèmes d’assistance au conducteur les plus répandus en France sont la direction assistée et le limiteur de vitesse adaptatif.
Pour ce qui est des caméras, Carglass s’est notamment penché sur celles que l’on colle sur le pare-brise, derrière le rétroviseur intérieur. 12 % des participants à cette étude indiquent en disposer d’une, un taux qui grimpe à 17 % chez ceux qui ont plus de 65 ans.
Du côté des aides à la conduite les plus connues des sondés, on retrouve la détection des piétons à la première place, avec 53 % des suffrages. Viennent ensuite le système anticollision, le freinage automatique d’urgence, l’anti-franchissement de ligne et la technologie de reconnaissance des panneaux de signalisation.
Avec AFP Relaxnews
]]>Le glucose qui circule dans le sang provient surtout des glucides que l’on consomme. Un apport trop élevé en sucres peut augmenter les risques de contracter le diabète de type 2. Pour cette étude, les scientifiques issus de l’Erasmus University Medial Center et de la Harvard T. H. Chan School of Public Health ont voulu savoir si les risques étaient les mêmes quand les hydrates de carbone provenaient de sources de qualité comme les céréales complètes.
Lors de leur étude, les scientifiques ont observé que les participants qui substituaient les calories contenues dans les acides gras saturés, les graisses mono-insaturées et polyinsaturées ainsi que les protéines végétales et animales par des glucides de bonne qualité, leur risque de souffrir du diabète de type 2 diminuait. Les céréales complètes sont riches en hydrates de carbone de qualité supérieure.
Quand l’on parle de diabète de type 2, les scientifiques précisent qu’il est important de faire la différence entre les glucides sains et ceux qui peuvent être nocifs pour la santé. L’on en trouve notamment dans les céréales complètes comme le riz complet, la farine complète ou encore le sarrasin. Elles sont riches en nutriments comme la vitamine B, les folates, le fer, le potassium, le sélénium ou encore le magnésium.
En plus d’aider à la prévention du diabète de type 2, les céréales complètes peuvent aussi être efficaces pour prévenir les maladies cardiovasculaires, certains cancers et d’autres troubles de la santé.
]]>L’étude révèle que 92 % des Français déclarent avoir déjà entendu parler de la télémédecine tandis que 68 % affirment savoir exactement de quoi il s’agit. Cette pratique a été généralisée en France depuis le 15 septembre 2019 et l’une des raisons principales serait le manque de médecins dans plusieurs régions de l’Hexagone.
83 % des sondés estiment que la télémédecine est particulièrement convaincante pour faciliter l’accès aux rendez-vous alors que 77 % pensent que cette méthode pourrait désengorger les services d’urgences. Selon l’étude, 78 % sont d’avis que cette pratique médicale permettrait de lutter contre les déserts médicaux.
Parmi les plus friands de cette nouvelle façon de se faire consulter, on retrouve les jeunes Français de moins de 35 ans ou encore ceux issus de catégories socio-professionnelles aisées. Les Parisiens sont 75 % à plébisciter cette méthode. Ce sont uniquement les personnes âgées qui se montrent les plus réticentes face à cette nouveauté d’après les résultats de l’étude.
Les motifs de la télémédecine sont nombreux. 78 % des sondés évoquent le renouvellement d’ordonnances et 77 % ont recours à ce moyen pour les besoins de conseils médicaux. Pour 70 % de la population française, les téléconsultations sont les plus envisagées dans des situations où le souci ne semble pas « grave ».
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